« Bonheur, en scène ! »
Un regard proche de l’abandon
Une œillade tout en frissons
Une mirette presque enfantine
Un coup d’œil aux allusions divines
L’artiste est heureux, comblé
Le musicien de feu est emporté
Le chanteur fougueux est adulé
Le créateur est amoureux, adoré
Rien à cet instant n’existe entre lui et son plaisir
Rien à ce moment ne vient troubler son profond désir
Rien à cette heure, pour abîmer, le moindre de ses dires
Rien à cette minute, pour l’empêcher de nous faire jouir
Et lorsque notre jouissance lui parviendra, à son tour, il jouira
Et lorsque la saveur de notre amour lui arrivera, à la pointe du jour, il sourira
Et lorsque notre constance au visage lui éclatera, avec reconnaissance et amour, il osera
Et lorsque le bonheur des beaux jours sur lui jaillira, sans plus de détour, il s’épanouira !
Ou de trop faire le fou, tombera….
Caliente
Illuna
lundi 30 mars 2009
samedi 28 mars 2009
Boucle d'or, que toujours, j'adore...
« Beau, l’enfant beau »
D’une blondeur fuyante autant qu’ensorcelante
D’une pâleur émouvante autant qu’exubérante
D’une toison d’or bouclante autant qu’affolante
D’une belle longueur, cette tignasse m’enlace
D’une telle langueur, offerte, je m’y prélasse
Beau, de cette beauté,
Dont la beauté un jour se fanera
Dont le beau doré, de nous affoler, cessera
Dont l’ombré, de nous ravager, plus, n’osera
Dont le mordoré, plus jamais ne nous brûlera
Dont l’ambré, de nous titiller, plus ne le pourra
Dont l’ourlé, perlé d’or, de nous enivrer, se privera
Dont l’ivresse cuivrée, de pouvoir, plus aucun, ne possédera
Dont l’existence immaculée, dans nos vies, plus n’implosera
Beau, mais plus assez pour encore nous capter, car ici bas, tout meurt, tout n’est que leurre, et de ce qui un jour fait battre nos cœurs, un jour pas si lointain, nous en prendrons presque horreur !
Beau, mais point trop n’en faut, de cette beauté qui se fige, se ronge, s’abîme, se fane, de fait nul ne sait quels ravages lui réserve l’avenir, quels outrages viendront modérer ses belles ardeurs ?
Beauté, toute relative, puisque empreinte de son temps, et qui se meurt à tout moment pour avoir osé se croire, même un seul instant, éternelle !
Beauté, cruelle, pour qui ne la possède mais, désespérément la convoite…
Ai-je osé décliner la beauté et en oublier celle toute intérieure, qui nous illumine, et qui si, en nous se plaît, jamais ne nous laisse en chemin, si belle et fidèle !
Mais que souvent, l’on délaisse au profit des sirènes (physiques) qui nous laissent si délicieusement moites…
Caliente
Illuna
D’une blondeur fuyante autant qu’ensorcelante
D’une pâleur émouvante autant qu’exubérante
D’une toison d’or bouclante autant qu’affolante
D’une belle longueur, cette tignasse m’enlace
D’une telle langueur, offerte, je m’y prélasse
Beau, de cette beauté,
Dont la beauté un jour se fanera
Dont le beau doré, de nous affoler, cessera
Dont l’ombré, de nous ravager, plus, n’osera
Dont le mordoré, plus jamais ne nous brûlera
Dont l’ambré, de nous titiller, plus ne le pourra
Dont l’ourlé, perlé d’or, de nous enivrer, se privera
Dont l’ivresse cuivrée, de pouvoir, plus aucun, ne possédera
Dont l’existence immaculée, dans nos vies, plus n’implosera
Beau, mais plus assez pour encore nous capter, car ici bas, tout meurt, tout n’est que leurre, et de ce qui un jour fait battre nos cœurs, un jour pas si lointain, nous en prendrons presque horreur !
Beau, mais point trop n’en faut, de cette beauté qui se fige, se ronge, s’abîme, se fane, de fait nul ne sait quels ravages lui réserve l’avenir, quels outrages viendront modérer ses belles ardeurs ?
Beauté, toute relative, puisque empreinte de son temps, et qui se meurt à tout moment pour avoir osé se croire, même un seul instant, éternelle !
Beauté, cruelle, pour qui ne la possède mais, désespérément la convoite…
Ai-je osé décliner la beauté et en oublier celle toute intérieure, qui nous illumine, et qui si, en nous se plaît, jamais ne nous laisse en chemin, si belle et fidèle !
Mais que souvent, l’on délaisse au profit des sirènes (physiques) qui nous laissent si délicieusement moites…
Caliente
Illuna
Morgane de tous tes bleus...
« Bleue de toi »
Totalement marine de tes dorés sur franges
Passionnément reine de tes ciels étranges
Mystiquement turquoise de tes ombres or et métal
Merveilleusement indigo de tes ambres "subliminales"
Bleue de tes charnelles estampillées
Bleue de tes ritournelles mordorées
Bleue de tes éternelles œillades confusément adorées
Bleue de tes mèches rebelles si espièglement dorées
Bleue d’une soie de pourpre qui jaillit de ton sein
Bleue d’un velours de jade qui assombrit ton coup de rein
Bleu enfantin, bleu mutin qui propose
Bleu sanguin, « violentin », bleu taquin qui ose
Bleu, froid d’une lame, qui blesse et n’épargne pas nos faiblesses
Bleu, noir d’une femme, qui caresse et n’épargne pas sa détresse…
Caliente
Illuna
Totalement marine de tes dorés sur franges
Passionnément reine de tes ciels étranges
Mystiquement turquoise de tes ombres or et métal
Merveilleusement indigo de tes ambres "subliminales"
Bleue de tes charnelles estampillées
Bleue de tes ritournelles mordorées
Bleue de tes éternelles œillades confusément adorées
Bleue de tes mèches rebelles si espièglement dorées
Bleue d’une soie de pourpre qui jaillit de ton sein
Bleue d’un velours de jade qui assombrit ton coup de rein
Bleu enfantin, bleu mutin qui propose
Bleu sanguin, « violentin », bleu taquin qui ose
Bleu, froid d’une lame, qui blesse et n’épargne pas nos faiblesses
Bleu, noir d’une femme, qui caresse et n’épargne pas sa détresse…
Caliente
Illuna
jeudi 26 mars 2009
Voix, m'entends-tu ?
« Le miel orageux de sa voix, parfois m’a manqué»
Le baiser, celui qui vous fera planer, tout oublier
C’est un voyage dont chaque découverte est à tomber
C’est Brocéliande et toutes ses promesses, ses maléfices
C’est l’Eden et le Nirvana enlacés, un immense feu d’artifice
Le baiser, celui qui vous fera baisser les armes, vous offrir
C’est un partage dont chaque parcelle est somptueuse à découvrir
C’est Merlin et Viviane, alliance sacrée, mélange enchanté
C’est Vlad Dracul et Mina, fusion passionnée, échange sacré
Et bien la musicalité de Julien,
c’est aussi de l’osmose, ce qu’il risque et ose
C’est l’envoûtement qui touche notre essence profonde
Le délicieux qu’il nous offre, qu’il nous propose
C’est l’enchaînement qui fait mouche, délicieuse onde
Le vagabond qui viole notre fleur intime, notre rose
C’est une sarabande qui nous enlace, nous déflore
Le délictueux qui flâne dans nos tempes, nos harmonies
C’est un serpent suave qui altère notre espace, nous explore
Le moribond qui fait couler la vie en nous, un vent de folie
C’est une source de jouissance, fleur intime et sauvage
Le fructueux alliage du bien et du mal, ce qui nous emprisonne
C’est un conflit d’engeance, entre le civilisé et le sauvage
L’horizon en feu qui dévore d’un feu intense, le cœur frissonne
C’est rouge comme notre sang qui abonde en tout sens
L’étoilé qui frappe à notre porte, nous rendant de plus en plus fébrile
C’est noir comme la nuit la plus profonde où nous perdons toute innocence
L’abandon total n’est plus très loin, il a capturé notre vie, bridé notre style
C’est l’eau, source de naissance, l’offrande de son savoir, la découverte de son pouvoir
Lui échapper n’est plus possible, l’absence et le vide seraient par trop destructeurs
La flamme qui brûle en nous et dont à présent il est le grand maître, la lueur d’espoir
Lui retirer son emprise serait réduire à néant, sa présence ensorcelante, condition de notre bonheur !
Silence, Julien féconde nos oreilles
Et abondent ainsi, sensuelles, les merveilles
Silence, Julien sème dans nos entrailles
Et s’amènent, ainsi, éternelles, les entailles (du plaisir)
Silence, Julien dessine sur nos substances
Et se trouve, ainsi bien divines, nos espérances (réponses à nos plus intimes désirs)
Julien, musicien qui oublie parfois qu’il possède « fort belle voix dorée », par laquelle j’aime aussi être sensuellement comblée, délicieusement enivrée, passionnément « violée ».
Alors oui, Julien enlace-moi aussi de ta voix câline, de ton chant sublime, de fluctuations de ton émouvante autant qu’éclatante tessiture, d’elle j’espère encore de fort belles éclaboussures.
Et non, ta belle voix ne fait pas de toi, qu’un simple chanteur, elle fait de toi, l’artiste, pour moi, petite Illuna, petite elfe sauvage des bois, l’enchanteur…alors dans un coin de ton cœur, ne l’oublie plus jamais !
Et tu m’en verras ainsi par ce présent inespéré, plus qu’honorée…
Caliente
Illuna
Le baiser, celui qui vous fera planer, tout oublier
C’est un voyage dont chaque découverte est à tomber
C’est Brocéliande et toutes ses promesses, ses maléfices
C’est l’Eden et le Nirvana enlacés, un immense feu d’artifice
Le baiser, celui qui vous fera baisser les armes, vous offrir
C’est un partage dont chaque parcelle est somptueuse à découvrir
C’est Merlin et Viviane, alliance sacrée, mélange enchanté
C’est Vlad Dracul et Mina, fusion passionnée, échange sacré
Et bien la musicalité de Julien,
c’est aussi de l’osmose, ce qu’il risque et ose
C’est l’envoûtement qui touche notre essence profonde
Le délicieux qu’il nous offre, qu’il nous propose
C’est l’enchaînement qui fait mouche, délicieuse onde
Le vagabond qui viole notre fleur intime, notre rose
C’est une sarabande qui nous enlace, nous déflore
Le délictueux qui flâne dans nos tempes, nos harmonies
C’est un serpent suave qui altère notre espace, nous explore
Le moribond qui fait couler la vie en nous, un vent de folie
C’est une source de jouissance, fleur intime et sauvage
Le fructueux alliage du bien et du mal, ce qui nous emprisonne
C’est un conflit d’engeance, entre le civilisé et le sauvage
L’horizon en feu qui dévore d’un feu intense, le cœur frissonne
C’est rouge comme notre sang qui abonde en tout sens
L’étoilé qui frappe à notre porte, nous rendant de plus en plus fébrile
C’est noir comme la nuit la plus profonde où nous perdons toute innocence
L’abandon total n’est plus très loin, il a capturé notre vie, bridé notre style
C’est l’eau, source de naissance, l’offrande de son savoir, la découverte de son pouvoir
Lui échapper n’est plus possible, l’absence et le vide seraient par trop destructeurs
La flamme qui brûle en nous et dont à présent il est le grand maître, la lueur d’espoir
Lui retirer son emprise serait réduire à néant, sa présence ensorcelante, condition de notre bonheur !
Silence, Julien féconde nos oreilles
Et abondent ainsi, sensuelles, les merveilles
Silence, Julien sème dans nos entrailles
Et s’amènent, ainsi, éternelles, les entailles (du plaisir)
Silence, Julien dessine sur nos substances
Et se trouve, ainsi bien divines, nos espérances (réponses à nos plus intimes désirs)
Julien, musicien qui oublie parfois qu’il possède « fort belle voix dorée », par laquelle j’aime aussi être sensuellement comblée, délicieusement enivrée, passionnément « violée ».
Alors oui, Julien enlace-moi aussi de ta voix câline, de ton chant sublime, de fluctuations de ton émouvante autant qu’éclatante tessiture, d’elle j’espère encore de fort belles éclaboussures.
Et non, ta belle voix ne fait pas de toi, qu’un simple chanteur, elle fait de toi, l’artiste, pour moi, petite Illuna, petite elfe sauvage des bois, l’enchanteur…alors dans un coin de ton cœur, ne l’oublie plus jamais !
Et tu m’en verras ainsi par ce présent inespéré, plus qu’honorée…
Caliente
Illuna
Le concert de Maître Doré...
« L’AB (C) de Maître Julien »
Julien, d’hier et d’aujourd’hui
Julien à qui, en concert, tout sourit
Julien, qui des tentations, n’est pas à l’abris
Julien, c’est quoi ce froc, qui fait pousser des cris
Julien, du haut de la mezzanine, je me sentais presque gamine
Julien, heureusement que ta musicalité est somptueuse et divine
Julien, fils de Dieu, ne plus entendre ta bonne parole, un réel crime
Julien, un regret, tu permets, n’enterre pas aussi souvent ta voix sublime
Julien, merci de faire du bien à mes tympans, à mes entrailles
Julien, merci d’être mystère, mystique, comique, charismatique
Julien, merci d’affréter la grand voile, vieille fripouille, canaille
Julien, merci d’être l’âme qui guide nos pas, cyclique et christique
Julien, mèches impudentes, veste tombante
Julien, crinière affolante, hystérie ambiante
Julien, c’est physique autant qu’électrique
Julien, c’est critique autant que psychédélique
Julien, feu et enfer sur First Lady
Julien, tes pas assassinent en nous la Lady
Julien, tes déhanchés sont de l’ordre du péché
Julien, et de te suivre sur tes chemins escarpés
Julien, foudre et flamme, poudre et femme
Julien, braisé, brûlant baisé, dieu me damne
Julien, chaude musique, roi des harmonies et de toutes les folies
Julien, maître de cérémonie, répondant autant qu’il le peut, à toutes nos envies
Julien, Bruxelles, ma belle, a sur toi, des effets de Neiges éternelles
Julien, Excellent, tu es de fait mon homme, celui qui me rend presque belle
Julien, tes bords de mer, donne à ma tronche, des airs de ravissante gazelle
Julien, bouche pute, tes acacias allègent mon cœur, roi d’imparables ritournelles
Julien, c’est quand tu veux, à Bruxelles, jamais on ne boude notre plaisir d’un talent si précieux
Julien, c’est où tu veux , à Bruxelles, toujours l’on sait recevoir les artistes merveilleux et fabuleux
Julien, merci pour hier
Julien, tu peux être très fier… au pays du chocolat, des frites et de la bière, on t’aime au moins autant aujourd’hui qu’hier…
Caliente
Illuna
Julien, d’hier et d’aujourd’hui
Julien à qui, en concert, tout sourit
Julien, qui des tentations, n’est pas à l’abris
Julien, c’est quoi ce froc, qui fait pousser des cris
Julien, du haut de la mezzanine, je me sentais presque gamine
Julien, heureusement que ta musicalité est somptueuse et divine
Julien, fils de Dieu, ne plus entendre ta bonne parole, un réel crime
Julien, un regret, tu permets, n’enterre pas aussi souvent ta voix sublime
Julien, merci de faire du bien à mes tympans, à mes entrailles
Julien, merci d’être mystère, mystique, comique, charismatique
Julien, merci d’affréter la grand voile, vieille fripouille, canaille
Julien, merci d’être l’âme qui guide nos pas, cyclique et christique
Julien, mèches impudentes, veste tombante
Julien, crinière affolante, hystérie ambiante
Julien, c’est physique autant qu’électrique
Julien, c’est critique autant que psychédélique
Julien, feu et enfer sur First Lady
Julien, tes pas assassinent en nous la Lady
Julien, tes déhanchés sont de l’ordre du péché
Julien, et de te suivre sur tes chemins escarpés
Julien, foudre et flamme, poudre et femme
Julien, braisé, brûlant baisé, dieu me damne
Julien, chaude musique, roi des harmonies et de toutes les folies
Julien, maître de cérémonie, répondant autant qu’il le peut, à toutes nos envies
Julien, Bruxelles, ma belle, a sur toi, des effets de Neiges éternelles
Julien, Excellent, tu es de fait mon homme, celui qui me rend presque belle
Julien, tes bords de mer, donne à ma tronche, des airs de ravissante gazelle
Julien, bouche pute, tes acacias allègent mon cœur, roi d’imparables ritournelles
Julien, c’est quand tu veux, à Bruxelles, jamais on ne boude notre plaisir d’un talent si précieux
Julien, c’est où tu veux , à Bruxelles, toujours l’on sait recevoir les artistes merveilleux et fabuleux
Julien, merci pour hier
Julien, tu peux être très fier… au pays du chocolat, des frites et de la bière, on t’aime au moins autant aujourd’hui qu’hier…
Caliente
Illuna
mardi 17 mars 2009
Reviens, s'il te plait....
« Reviens-moi, où que tu sois, reviens ! »
Reviens-moi, ne me laisse pas solitaire sur cette plage
Reviens-moi, ne laisse pas le soleil inonder mon visage
Reviens-moi, toute seule, j’ai très peur des ciels d’orage
Reviens-moi, ta douceur, ton odeur me tiennent toujours en otage
Reviens-moi, seule, délaissée, abandonnée, je fais naufrage
Reviens-moi, laisse-moi être l’ombre de ton ombre, ton sillage
Reviens-moi, le temps vécu sans toi, est un outrage
Reviens-moi, regarde-moi, aime-moi, ton amour pour seul bagage
Reviens-moi, mais si tu ne peux pas, promets-moi, là-haut, de m’attendre, bien sage comme une image
Reviens-moi, mais si tu ne peux pas, promets-moi, de ne pas trop faire attention à mes cheveux blancs, venu avec l’âge
Reviens-moi, redessine-moi les couleurs du bonheur, exquis et divin papillonnage
Reviens-moi, couvre-moi à nouveau de ton regard, il est si doux de vivre esclavage
Reviens-moi, attends, retourne-toi, tends-moi la patte, du bord de cet autre rivage
Reviens-moi, par ce simple geste, à notre amour infini donne son point d’ancrage
Maman, qui se morfond, ici bas, seule sans toi….
Reviens-moi, ne me laisse pas solitaire sur cette plage
Reviens-moi, ne laisse pas le soleil inonder mon visage
Reviens-moi, toute seule, j’ai très peur des ciels d’orage
Reviens-moi, ta douceur, ton odeur me tiennent toujours en otage
Reviens-moi, seule, délaissée, abandonnée, je fais naufrage
Reviens-moi, laisse-moi être l’ombre de ton ombre, ton sillage
Reviens-moi, le temps vécu sans toi, est un outrage
Reviens-moi, regarde-moi, aime-moi, ton amour pour seul bagage
Reviens-moi, mais si tu ne peux pas, promets-moi, là-haut, de m’attendre, bien sage comme une image
Reviens-moi, mais si tu ne peux pas, promets-moi, de ne pas trop faire attention à mes cheveux blancs, venu avec l’âge
Reviens-moi, redessine-moi les couleurs du bonheur, exquis et divin papillonnage
Reviens-moi, couvre-moi à nouveau de ton regard, il est si doux de vivre esclavage
Reviens-moi, attends, retourne-toi, tends-moi la patte, du bord de cet autre rivage
Reviens-moi, par ce simple geste, à notre amour infini donne son point d’ancrage
Maman, qui se morfond, ici bas, seule sans toi….
dimanche 15 mars 2009
Petit frisson, mon beau petit nom...
« Ton nom, mon plus doux frisson »
Ton nom, c’est l’amour qui virevolte tout autour de moi
Ton nom, c’est l’écho du bonheur qui survolte tout mon émoi
Ton nom, c’est la vie qui explose et qui implose en mon cœur
Ton nom, c’est l’éternité à ma porte, à peine éclose telle une fleur
Ton nom, c’est un rêve éveillé qui me livre toute sa tendresse
Ton nom, c’est un songe qui caresse spontanément ma détresse
Ton nom, c’est un vallée de roses, où chaque épine ne blesse, ni ne l’ose
Ton nom, c’est un océan de prose, où chaque jour me tient loin de toute névrose
Ton nom, c’est la révolte qui gronde en mon âme, devenue solitaire
Ton nom, c’est une danse, une volte qui m’enlace loin de tout incendiaire
Et à penser à toi sans cesse, je commence à comprendre ce que vieillir veut dire, c’est accepter de perdre en chemin, ceux qu’on aime, accepter leur grand départ vers ce voyage, dont on ne revient !
Ton nom, c’est ce qui me tient debout, les jours de tristesses
Ton nom, c’est ce qui me met le sourire, les jours de tempête
Ton nom, c’est ce qui m’offre l’envie d’aller plus loin, voir ce qu’il y a et t’en parler à toi
Ton nom, c’est ce qui me pousse à découvrir seule ce chemin, qu’à deux je foulais comme de la soie
Ton nom, c’est ce qui me grandit quand l’envie de mal me conduire, me vient
Ton nom, c’est ce qui m’aide à voir au-delà des orages, que le ciel est bleu, et qu’après la pluie, le beau temps revient.
Ton nom, cette petite ponctuation, qui donnait vie et chaleur à mon horizon, le nôtre et redevenu soudain, juste le mien
Ton nom, cette merveilleuse attention, qui offrait folie et bonheur à mes frissons, les nôtres, et redevenus soudain, juste les miens…
Maman, pour sa petite Virgule adorée…
Ton nom, c’est l’amour qui virevolte tout autour de moi
Ton nom, c’est l’écho du bonheur qui survolte tout mon émoi
Ton nom, c’est la vie qui explose et qui implose en mon cœur
Ton nom, c’est l’éternité à ma porte, à peine éclose telle une fleur
Ton nom, c’est un rêve éveillé qui me livre toute sa tendresse
Ton nom, c’est un songe qui caresse spontanément ma détresse
Ton nom, c’est un vallée de roses, où chaque épine ne blesse, ni ne l’ose
Ton nom, c’est un océan de prose, où chaque jour me tient loin de toute névrose
Ton nom, c’est la révolte qui gronde en mon âme, devenue solitaire
Ton nom, c’est une danse, une volte qui m’enlace loin de tout incendiaire
Et à penser à toi sans cesse, je commence à comprendre ce que vieillir veut dire, c’est accepter de perdre en chemin, ceux qu’on aime, accepter leur grand départ vers ce voyage, dont on ne revient !
Ton nom, c’est ce qui me tient debout, les jours de tristesses
Ton nom, c’est ce qui me met le sourire, les jours de tempête
Ton nom, c’est ce qui m’offre l’envie d’aller plus loin, voir ce qu’il y a et t’en parler à toi
Ton nom, c’est ce qui me pousse à découvrir seule ce chemin, qu’à deux je foulais comme de la soie
Ton nom, c’est ce qui me grandit quand l’envie de mal me conduire, me vient
Ton nom, c’est ce qui m’aide à voir au-delà des orages, que le ciel est bleu, et qu’après la pluie, le beau temps revient.
Ton nom, cette petite ponctuation, qui donnait vie et chaleur à mon horizon, le nôtre et redevenu soudain, juste le mien
Ton nom, cette merveilleuse attention, qui offrait folie et bonheur à mes frissons, les nôtres, et redevenus soudain, juste les miens…
Maman, pour sa petite Virgule adorée…
Dans l'air du temps...
« Le fou chantant »
« L’artiste délirant » ou bien encore « L’homme orchestre bouleversant »
D’un osé de plus en plus troublant
D’un phrasé mystérieux et captivant
D’un planifié à tomber, quel fol enfant
D’un énamouré, qui nous chavire, excitant
D’un affolé, affolant, glisse-t’il comme un gant ?
D’un louvoyé, louvoyant, risque-t’il d’être offensant ?
D’un agacé, agaçant, tout donner mais tout en se refusant
D’un débauché, débauchant, sa langue offerte tout en devisant
D’un inespéré, soudain espérant et pour nous toutes, si désespérant…
Caliente
Illuna
« L’artiste délirant » ou bien encore « L’homme orchestre bouleversant »
D’un osé de plus en plus troublant
D’un phrasé mystérieux et captivant
D’un planifié à tomber, quel fol enfant
D’un énamouré, qui nous chavire, excitant
D’un affolé, affolant, glisse-t’il comme un gant ?
D’un louvoyé, louvoyant, risque-t’il d’être offensant ?
D’un agacé, agaçant, tout donner mais tout en se refusant
D’un débauché, débauchant, sa langue offerte tout en devisant
D’un inespéré, soudain espérant et pour nous toutes, si désespérant…
Caliente
Illuna
vendredi 13 mars 2009
Une certaine image du bonheur s'en est allée...
« Né, vieux sage » … déjà un fort beau bagage à la naissance…
Né, vieux sage,
Peut-être par un flamboyant ciel d’orage
Né vieux sage,
Si petit et déjà tellement père courage
Né vieux sage,
D’une beauté bien au-delà de l’emballage
Né vieux sage,
M’ayant en une seule seconde, prise en otage
Né vieux sage,
Mon repaire, mon phare, mon point d’ancrage
Né vieux sage,
D’un délice à vivre, du plus brillant des partages
Né vieux sage,
Pour qui j’ai tenté le diable, mis mon âme en ballotage
Né vieux sage,
Si doux, si tendre, si fragile, vivre sans lui, quel veuvage
Né vieux sage,
En mon cœur gravé comme le plus émouvant des tatouages
Né vieux sage,
Orpheline de sa tendresse, privée de ses caresses, quel dommage
Né vieux sage,
Mort en mes bras, soulagé d’une vie peu clémente avec son vieil âge
Né vieux sage,
Confiant et libéré, en ces dernières secondes, aimé à jamais sans ombrage
Né vieux sage,
Ton âme erre désormais entre le ciel de mon lit et le firmament étoilé des sages
Caliente
Illuna
mardi 10 mars 2009
Boucle d'or, mon cher trésor...
« Toison d’or, voix dorée »
Je ne crois pas que l’une engendre le talent de l’autre
Mais je serais bien navrée de perdre la beauté de l’une des deux
Je ne crois pas que son charisme artistique en pâtirait
Mais je serais toute chose d’y perdre la splendeur de ces cheveux
Je ne crois pas que son ascendant mystique serait moins fort
Mais je serais bien embarrassée de ne pouvoir offenser ce nid soyeux
Je ne crois pas que sa belle voix lyrique serait moins captivante
Mais je serais quelque peu morose d’y perdre mes apnées sous grand bleu
La beauté est certes très relative, la vie est un assaut de diverses offensives
La beauté est certes très subjective, ma vie l’aime sans oripeau et sur la défensive
Avec pour seules armes, sa chair cristalline, ses rondeurs divines
Avec pour seules armes, ses signes à l’encre de chine, ses pâleurs assassines
Avec pour seules armes, ses poignées d’amour mutines, ses boucles angevines…
Caliente
Illuna
Je ne crois pas que l’une engendre le talent de l’autre
Mais je serais bien navrée de perdre la beauté de l’une des deux
Je ne crois pas que son charisme artistique en pâtirait
Mais je serais toute chose d’y perdre la splendeur de ces cheveux
Je ne crois pas que son ascendant mystique serait moins fort
Mais je serais bien embarrassée de ne pouvoir offenser ce nid soyeux
Je ne crois pas que sa belle voix lyrique serait moins captivante
Mais je serais quelque peu morose d’y perdre mes apnées sous grand bleu
La beauté est certes très relative, la vie est un assaut de diverses offensives
La beauté est certes très subjective, ma vie l’aime sans oripeau et sur la défensive
Avec pour seules armes, sa chair cristalline, ses rondeurs divines
Avec pour seules armes, ses signes à l’encre de chine, ses pâleurs assassines
Avec pour seules armes, ses poignées d’amour mutines, ses boucles angevines…
Caliente
Illuna
dimanche 8 mars 2009
La mer que l'on voit danser le long des golfes clairs...
« Capitaine, la foudre »
Qui avec mon cœur va en découdre
Qui après tant de péchés, voudra m’absoudre
Qui avec ses aigreurs, me réduira en poudre
Qui avec belle sobriété, pourra ma complexité, résoudre
Qui de ses colères, m’entrouvrira ses enfers
Qui de ses repères, m’ouvrira l’appétit du pervers
Qui de ses galères, me donnera le goût de la lumière
Qui à sa manière, pourfendra une à une, mes barrières
Qui moitié pirate, moitié corsaire, m’enlisera avec lui en mer
Qui à la barre, se fera bel autoritaire, m’enivrera de lui jusqu’en terre
Qui d’un bel effet bien doré, tel le plus beau doublon
Me fera croire que sa chasse au trésor s’arrête pour de bon !
Aigle des mers et menteur…
Caliente
Illuna
Qui avec mon cœur va en découdre
Qui après tant de péchés, voudra m’absoudre
Qui avec ses aigreurs, me réduira en poudre
Qui avec belle sobriété, pourra ma complexité, résoudre
Qui de ses colères, m’entrouvrira ses enfers
Qui de ses repères, m’ouvrira l’appétit du pervers
Qui de ses galères, me donnera le goût de la lumière
Qui à sa manière, pourfendra une à une, mes barrières
Qui moitié pirate, moitié corsaire, m’enlisera avec lui en mer
Qui à la barre, se fera bel autoritaire, m’enivrera de lui jusqu’en terre
Qui d’un bel effet bien doré, tel le plus beau doublon
Me fera croire que sa chasse au trésor s’arrête pour de bon !
Aigle des mers et menteur…
Caliente
Illuna
samedi 7 mars 2009
Faible femme...
« A sa vue, je me sens toujours si femme »
Un sang chaud s’infiltre dans mes nausées
Un vent fou s’insinue dans mes pensées
Des lèvres si bellement ourlées, si délicieusement charnues
Des chairs si somptueusement dorées, si espièglement dévêtues
Comme un piège à souris
Comme une fièvre dans mon lit
Comme un écrin entrouvert sur une intense nostalgie
Comme une porte ouverte sur le cristal fragile de nos vies
Comme une envie qui nous fouette autant qu’elle nous inquiète
Comme une folie qui nous guette et dans le temps, nous projette
De cet homme, douce magie, pure et craquante folie
De cet homme, douce étourdie, pure et délirante mélancolie
Je me retrouve la proie de ses mèches folles, en bataille
Je me retrouve tout en émoi de cette chevelure en guindaille
Et à chaque fois, je me jure de n’y plus faire attention
Et à chaque fois, je me parjure et tente de m’en expliquer en confession…
Après tout, ne prétend-t’il pas parfois être fils Dieu ?
Illuna - Sylvie
Un sang chaud s’infiltre dans mes nausées
Un vent fou s’insinue dans mes pensées
Des lèvres si bellement ourlées, si délicieusement charnues
Des chairs si somptueusement dorées, si espièglement dévêtues
Comme un piège à souris
Comme une fièvre dans mon lit
Comme un écrin entrouvert sur une intense nostalgie
Comme une porte ouverte sur le cristal fragile de nos vies
Comme une envie qui nous fouette autant qu’elle nous inquiète
Comme une folie qui nous guette et dans le temps, nous projette
De cet homme, douce magie, pure et craquante folie
De cet homme, douce étourdie, pure et délirante mélancolie
Je me retrouve la proie de ses mèches folles, en bataille
Je me retrouve tout en émoi de cette chevelure en guindaille
Et à chaque fois, je me jure de n’y plus faire attention
Et à chaque fois, je me parjure et tente de m’en expliquer en confession…
Après tout, ne prétend-t’il pas parfois être fils Dieu ?
Illuna - Sylvie
mardi 3 mars 2009
Ton nom, tout comme un doux frisson...
Ce qui va suivre n'a pas été écrit par moi mais à l'exception du fait que c'est un homme qui s'adresse à une femme et non une femme à son compagnon (à quatre pattes), aucun mot ne saurait mieux exprimer ce que son nom signifie pour moi... Merci Monsieur Aznavour, de l'avoir si bellement écrit, dit, ressenti et chanté...
Ton nom
C'est un mot merveilleux, un appel qui jaillit
Et de souffle en murmure aboutit à ce cri
Déchirant par instant
Le silence angoissant
De la nuit
Ton nom
Que répète ma voix et que reprend l'écho
Met le trouble en mon âme
Et tant qu'il vibre en moi
Mon cœur ne connaît pas
De repos
Ton nom
Qui fait naître la joie où stagnait la peur
C'est l'étoile qui luit dans le ciel de mon cœur
Et me guide à travers
Les sentiers escarpés
Du bonheur
Ton nom
A l'heure où l'ombre vient pour dépouiller le jour
Se transforme pour moi en simple mot d'amour
Et me fait prisonnier
De la nuit, de toi et
De ton nom
Ton nom
C'est un mot merveilleux, un appel qui jaillit
Et de souffle en murmure aboutit à ce cri
Déchirant par instant
Le silence angoissant
De la nuit
Ton nom
Que répète ma voix et que reprend l'écho
Met le trouble en mon âme
Et tant qu'il vibre en moi
Mon cœur ne connaît pas
De repos
Ton nom
Qui fait naître la joie où stagnait la peur
C'est l'étoile qui luit dans le ciel de mon cœur
Et me guide à travers
Les sentiers escarpés
Du bonheur
Ton nom
A l'heure où l'ombre vient pour dépouiller le jour
Se transforme pour moi en simple mot d'amour
Et me fait prisonnier
De la nuit, de toi et
De ton nom
Ton nom
Claque comme un drapeau planté comme un défi
Sur la terre promise au rêveur que je suis
Car il flotte à présent
Dans l'azur, pour le temps
De ma vie
Ton nom
Que j'écris sur les murs, sur les arbres, partout
Et le crie sur les toits, dans le vent comme un fou
Que tu sois dans mes bras
Ou perdue loin de moi
Loin de tout
Ton nom
C'est un son obsédant qui voltige dans l'air
Il plane autour de moi, il me frôle et me serre
Et joue à retourner
Mon sang et mes pensées
A l'envers
Ton nom
Sur mes lèvres et mon corps rime avec mes désirs
Il est tendre, il est chaud, il se dit à plaisir
Et je ne peux sans faiblir
Demain vivre ou mourir
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