samedi 31 janvier 2009

Ma petite blessure au coeur si pur...

« A la recherche d’un temps qui n’est plus… »

A la recherche de toi au travers de nos souvenirs
A la recherche d’un émoi, qui mon cœur à l’envers, à en mourir
A la recherche de ta voix, qui mon âme par dévers, à m’en attendrir
A la recherche d’une joie, qui fût nôtre par vent de mer, à en périr

A l’amour qui ne veut, ne peut, mourir

A l’amour qui ne veut, ne peut, s’enfuir
A l’amour qui ne peut, ne veut, ailleurs s’étourdir
A l’amour qui ne peut, ne veut, ailleurs s’épanouir
A l’amour qui ne peut, ne veut, ailleurs surenchérir

A l’enfant perdu, au petit être tant chéri, lourd sur mon cœur comme un cheval mort
A l’enfant perdu, au petit voyou, à mon cher bandit, voleur de mes pensées, encore et encore…

A l’enfant perdu, à ma virgule, à ma libellule, écrin de douceur, offrande de chaleur, à toi qui chaque soir, tout près de moi, s’endort…

A toi, que j’aime de plus en plus fort, mon plus cher trésor, mon velours, ma vive douleur, de mon jardin d’Eden, toujours la plus belle fleur, va mon amour, dors !

Maman, pour son petit musclor, qu’encore et toujours, j’adore…



Aucun commentaire: