« Un Grimper de rideaux, façon Annapurna doré… »
Sur les chemins de Katmandou,
J’ai rencontré un homme au charme fou
Une âme aussi pure que noire, comme un coup de grisou
Sur les chemins de Katmandou,
J’ai oublié mon chagrin pour me pendre à son cou
Un fol amour, une folle nuit, goûter à la fièvre d’un voyou
Sur les chemins de Katmandou,
J’ai rencontré un homme au charme fou
Une âme aussi pure que noire, comme un coup de grisou
Sur les chemins de Katmandou,
J’ai oublié mon chagrin pour me pendre à son cou
Un fol amour, une folle nuit, goûter à la fièvre d’un voyou
Sur les chemins de Katmandou,
J’ai plané sans herbe, accro à mon beau joujou
Un peu de bestialité dans un monde trop aseptisé, surtout sois filou
Sur les chemins de Katmandou,
J’ai déifié un nouveau dieu, j’ai franchi les limites, osé le tabou
Un peu d’orgasme pour réchauffer ma vieille âme, un fantasque bijou
Sur les chemins de Katmandou,
J’ai espéré rejoindre le nirvana, j’ai tenté le diable, très loin du vaudou
Un soupçon d’ecchymose, un zeste d’overdose, l’homme et la bête, instable loup-garou
Sur les chemins de Katmandou,
J’ai aimé et j’ai été aimée, envoûtée par ses promesses, ses circonvolutions, c’est devenu flou
Un voyage dont je suis revenue plus forte, comme à l’ouverture d’une porte longtemps fermée, scotchée à l’essence de mon excentrique gourou…
Caliente
Illuna
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