« Un ciel doré, empli de lucioles étoilées »
Il implore le ciel qui le couvre de ses bienfaits
Il déflore nos ciels qui découvrent l’or et ses effets
Il explore le ciel qui lui ouvre tant d’horizons
Il est le mentor de ciels pourpres en floraison
Il approche le ciel et son firmament de strass et de paillettes
Il décroche le fiel, fier amant, dont la beauté n’est point surfaite
Il s’accroche au ciel étoilé, comme un diamant brut à son collier
Il se reproche un miel édulcoré, comme un enfant brut, un écolier
Il adore sa mise en scène, s’y noie d’un plaisir, critique, christique
Il abhorre un ciel de sienne, en proie au désir, extatique, physique…
Caliente
Illuna
dimanche 30 novembre 2008
Passion organique et confusion orgasmique...
« Les cymbales du bonheur »
Corps chaloupé par les pulsions de la batterie
Substance alambiquée par l’influx de la musique
Chair démente, si peu clémente, pas du tout classique
Peau d’ange, entre ciel bleu et orage, toute en folie
Circonvolutions enivrantes sur fond de fièvre et de passion
Déhanchés harmonieux et fougueux, son corps pour seul horizon
Bassin doré, bel enfiévré, promesse d’une belle argumentation
Hanches harmonieuses et délictueuses, en plein conflit d’adoration
Cymbales émotionnelles de sa fugue passionnelle et son port conflictuel
Instrument d’un destin doré sur scène, que de « je t’aime » des plus charnels
Balance improvisée d’un devenir en or, la naissance d’un artiste fusionnel
Extase scénique et océan pacifique, nos cœurs tanguent à sa vue, si belle, si réelle…
Caliente
Illuna
Corps chaloupé par les pulsions de la batterie
Substance alambiquée par l’influx de la musique
Chair démente, si peu clémente, pas du tout classique
Peau d’ange, entre ciel bleu et orage, toute en folie
Circonvolutions enivrantes sur fond de fièvre et de passion
Déhanchés harmonieux et fougueux, son corps pour seul horizon
Bassin doré, bel enfiévré, promesse d’une belle argumentation
Hanches harmonieuses et délictueuses, en plein conflit d’adoration
Cymbales émotionnelles de sa fugue passionnelle et son port conflictuel
Instrument d’un destin doré sur scène, que de « je t’aime » des plus charnels
Balance improvisée d’un devenir en or, la naissance d’un artiste fusionnel
Extase scénique et océan pacifique, nos cœurs tanguent à sa vue, si belle, si réelle…
Caliente
Illuna
Un trésor tout en douceur, juste pour mon coeur...
« Un vrai trésor, celui qui n’a pas de prix ! »
Je n’ai pas d’autre trésor
Que celui dont le cœur bat toujours et encore
Je n’ai pas d’autre trésor
Que celui dont la bonté resplendit plus que l’or
Je n’ai pas d’autre trésor
Que celui dont l’amour rayonne de plus en plus fort
Je n’ai pas d’autre trésor
Que celui dont la douce et tendre bestialité me déflore
Je n’ai pas d’autre trésor
Que celui dont la nigauderie m’éclate encore et encore
Je n’ai pas d’autre trésor
Que celui qu’autrefois, j’appelais mon petit Musclor
Je n’ai pas d’autre trésor
Que celui dont la blondeur me pousse à le nommer, Boucle d’or
Je n’ai pas d’autre trésor
Que celui dont l’amitié me fait siffler : « Les copains d’abord ! »
Je n’ai pas d’autre trésor
Que celui dont l’amour intense flotte autour de moi comme alors
Je n’ai pas d’autre trésor
Que celui dont la belle vie coule au plus profond de mes veines, mon bel Amor !
Caliente
Illuna
Je n’ai pas d’autre trésor
Que celui dont le cœur bat toujours et encore
Je n’ai pas d’autre trésor
Que celui dont la bonté resplendit plus que l’or
Je n’ai pas d’autre trésor
Que celui dont l’amour rayonne de plus en plus fort
Je n’ai pas d’autre trésor
Que celui dont la douce et tendre bestialité me déflore
Je n’ai pas d’autre trésor
Que celui dont la nigauderie m’éclate encore et encore
Je n’ai pas d’autre trésor
Que celui qu’autrefois, j’appelais mon petit Musclor
Je n’ai pas d’autre trésor
Que celui dont la blondeur me pousse à le nommer, Boucle d’or
Je n’ai pas d’autre trésor
Que celui dont l’amitié me fait siffler : « Les copains d’abord ! »
Je n’ai pas d’autre trésor
Que celui dont l’amour intense flotte autour de moi comme alors
Je n’ai pas d’autre trésor
Que celui dont la belle vie coule au plus profond de mes veines, mon bel Amor !
Caliente
Illuna
Recueil extatique, c'est physique...
« Recueil de poésie »
Réflexion dorée sur des allitérations encore édulcorées
Pensées bien troubles au seuil de ses passions fouettées
Songes éveillés et si osés au milieu d’une salle comblée
Rêveries non dénuées d’un certain idéal, sens de l’à propos
Imagination fébrile qui dénude ses charmes presque trop tôt
Recueillement effronté qui suspend l’air au fil d’un jeune sot
Sentiment en ébullition qui fouette nos vies par trop édulcorées
Raison bafouée dont le cœur ne peut se défaire, belle âme partagée
Idée qui prend racine, dont la naissance dorée est une nouvelle aube, tant espérée…
Caliente
Illuna
Réflexion dorée sur des allitérations encore édulcorées
Pensées bien troubles au seuil de ses passions fouettées
Songes éveillés et si osés au milieu d’une salle comblée
Rêveries non dénuées d’un certain idéal, sens de l’à propos
Imagination fébrile qui dénude ses charmes presque trop tôt
Recueillement effronté qui suspend l’air au fil d’un jeune sot
Sentiment en ébullition qui fouette nos vies par trop édulcorées
Raison bafouée dont le cœur ne peut se défaire, belle âme partagée
Idée qui prend racine, dont la naissance dorée est une nouvelle aube, tant espérée…
Caliente
Illuna
Source brute et dorée...
« Ma petite brute »
Féroce bête au talent plein d’amorce
Atroce félin au mérite tout en écorce
Pépite dorée dont l’art est illustre
Cristal orné d’une enveloppe frustre
Foudre empourprée d’une saveur suave
Eclair endiablé d’un musc sans entrave
Esclave révolté aux chaînes enfiévrées
Ilote surexposé à la dégaine enflammée
Bête dont la mâle essence nous éclabousse
Brute dont l’âme pleine d’innocence nous pousse
A le suivre, ainsi condamnée à l’adorer au fil de ses exploits encore quelque peu en dormance
A le suivre, ainsi mortifiée de l’idolâtrer au fil de ses expériences, de ses déjà si bien foutues et impromptues performances…
Sacré défi, mais rien n’y fit, et lorsque tout fût dit, nous décidâmes de le relever…
Caliente
Illuna
Féroce bête au talent plein d’amorce
Atroce félin au mérite tout en écorce
Pépite dorée dont l’art est illustre
Cristal orné d’une enveloppe frustre
Foudre empourprée d’une saveur suave
Eclair endiablé d’un musc sans entrave
Esclave révolté aux chaînes enfiévrées
Ilote surexposé à la dégaine enflammée
Bête dont la mâle essence nous éclabousse
Brute dont l’âme pleine d’innocence nous pousse
A le suivre, ainsi condamnée à l’adorer au fil de ses exploits encore quelque peu en dormance
A le suivre, ainsi mortifiée de l’idolâtrer au fil de ses expériences, de ses déjà si bien foutues et impromptues performances…
Sacré défi, mais rien n’y fit, et lorsque tout fût dit, nous décidâmes de le relever…
Caliente
Illuna
samedi 29 novembre 2008
Cacher, le plus beau fruit de nos impudeurs...
« Cacher cette extravagante épine qui rudoie nos pudeurs »
ou
« Cacher cet impudent aiguillon qui rougeoie nos ardeurs »
Cacher ce sein que je ne saurais voir sans l’envie de le titiller
Cacher cette aréole que je ne saurais désirer sans l’envie de la mordiller
Cacher cette belle pointe, petite et menue, qui hante ma vision et déchire mes passions
Cacher ce doux péché, qui me remue les sens, de bas en haut, et me jette en profonde confusion
Cacher ce tentateur, ce moqueur téton, offrande vive à nos offenses incisives, prosternation
Cacher ce tout petit nichon, un peu évocation de nos mères tentations, pécheresses pleines de frustration
Cacher cette mamelle, si mâle, qu’elle nous met à mal pour des décennies, toute sagesse définitivement bannie
Cacher ce mamelon, ce vilain petit garçon qui fleure bon, l’abandon, la contradiction, entre la douce et le plus hardie
Cacher, dessous le tissu, ce petit robert, cadeau d’anniversaire pour les jours noirs, couleur à toute nos misères, à toutes nos galères
Cacher, de votre substance, ce petit espace de liberté, si espiègle qu’il pointe à nos vies, le bout d’un nouveau né, plein de joies fortes mais hélas éphémères
Cacher cette tétine, appelante et câline, tendre et sibylline, offerte et divine, charmante ondine à nos lèvres assoiffées, à nos désirs exacerbés, à nos plaisirs endiablés
Cacher, ce bout sacré de poitrine, cet orphelin qui crie famine, qui ondule et déambule sous nos yeux comblés, sous nos folies conjuguées, sous nos soifs enfiévrées…
Cacher, car à trop le voir, plus de moi, je ne peux répondre…
Cacher car à trop d’espoir, plus de moi, je ne veux répondre…
Caliente
Illuna
ou
« Cacher cet impudent aiguillon qui rougeoie nos ardeurs »
Cacher ce sein que je ne saurais voir sans l’envie de le titiller
Cacher cette aréole que je ne saurais désirer sans l’envie de la mordiller
Cacher cette belle pointe, petite et menue, qui hante ma vision et déchire mes passions
Cacher ce doux péché, qui me remue les sens, de bas en haut, et me jette en profonde confusion
Cacher ce tentateur, ce moqueur téton, offrande vive à nos offenses incisives, prosternation
Cacher ce tout petit nichon, un peu évocation de nos mères tentations, pécheresses pleines de frustration
Cacher cette mamelle, si mâle, qu’elle nous met à mal pour des décennies, toute sagesse définitivement bannie
Cacher ce mamelon, ce vilain petit garçon qui fleure bon, l’abandon, la contradiction, entre la douce et le plus hardie
Cacher, dessous le tissu, ce petit robert, cadeau d’anniversaire pour les jours noirs, couleur à toute nos misères, à toutes nos galères
Cacher, de votre substance, ce petit espace de liberté, si espiègle qu’il pointe à nos vies, le bout d’un nouveau né, plein de joies fortes mais hélas éphémères
Cacher cette tétine, appelante et câline, tendre et sibylline, offerte et divine, charmante ondine à nos lèvres assoiffées, à nos désirs exacerbés, à nos plaisirs endiablés
Cacher, ce bout sacré de poitrine, cet orphelin qui crie famine, qui ondule et déambule sous nos yeux comblés, sous nos folies conjuguées, sous nos soifs enfiévrées…
Cacher, car à trop le voir, plus de moi, je ne peux répondre…
Cacher car à trop d’espoir, plus de moi, je ne veux répondre…
Caliente
Illuna
L'arc-en-ciel doré, des couleurs chaudes et ambrées...
« L’arc-en-ciel »
Jet de lumière aux couleurs équateur sur nos vies un peu terne
Rai éphémère aux incantations en forme de cœur sur nos envies en bernes
Rayon en sphère, rayon à la chaude atmosphère autour de nos folies, on se prosterne
Arc émotionnel de nos étourderies, parc confusionnel de nos espiègleries, plus de baliverne
Gerbe de feu pour femmes averties, pour maîtresses abasourdies, en léger post-moderne
Giclée fusionnelle pour belles endormies, pour celles étourdies, dieu, comme il nous gouverne
Jaillissement d’un beau bleu, celui de ses yeux, moquerie de ses délicieux cernes
Ejaculation divine, puits de tentation, par lui, ébahie, alourdie, doux miel en caverne
Fécondation in-vitro de nos oreilles, sa substance anoblie, encore, et toujours nous consterne
Sublimation intra-muros sans pareille, sa chair alanguie, entre chacune de nous, vient et alterne…
Caliente
Illuna
Jet de lumière aux couleurs équateur sur nos vies un peu terne
Rai éphémère aux incantations en forme de cœur sur nos envies en bernes
Rayon en sphère, rayon à la chaude atmosphère autour de nos folies, on se prosterne
Arc émotionnel de nos étourderies, parc confusionnel de nos espiègleries, plus de baliverne
Gerbe de feu pour femmes averties, pour maîtresses abasourdies, en léger post-moderne
Giclée fusionnelle pour belles endormies, pour celles étourdies, dieu, comme il nous gouverne
Jaillissement d’un beau bleu, celui de ses yeux, moquerie de ses délicieux cernes
Ejaculation divine, puits de tentation, par lui, ébahie, alourdie, doux miel en caverne
Fécondation in-vitro de nos oreilles, sa substance anoblie, encore, et toujours nous consterne
Sublimation intra-muros sans pareille, sa chair alanguie, entre chacune de nous, vient et alterne…
Caliente
Illuna
Son ombre mordorée plane sur nos vies...
« Ombre et Lumière »
Comme l’arbre avec la terre !
Comme le bateau avec la mer !
Comme l’or et le fer !
Comme le sel et l’amer !
Comme l’orgueil et le fier !
Comme le paradis et l’enfer !
Comme les éclairs et le tonnerre !
Comme les ennuis et les galères !
Comme le sang et l’artère !
Comme le secret et le mystère !
Comme la sœur et le frère !
Comme l’eau et la gouttière !
Comme le rouge et la colère !
Comme la femme et la guêpière !
Comme la paix et la guerre !
Comme l’argent et l’héritière !
Comme le vent et la montgolfière !
Comme le charme et la lavandière !
Comme le plaisir et le pervers !
Comme le désir et l’incendiaire !
Comme le poing et la vipère !
Comme le poison et la meurtrière !
Comme le bijoux et la perlière !
Comme la fleur vierge et la belle rosière !
Caliente
Illuna
Comme l’arbre avec la terre !
Comme le bateau avec la mer !
Comme l’or et le fer !
Comme le sel et l’amer !
Comme l’orgueil et le fier !
Comme le paradis et l’enfer !
Comme les éclairs et le tonnerre !
Comme les ennuis et les galères !
Comme le sang et l’artère !
Comme le secret et le mystère !
Comme la sœur et le frère !
Comme l’eau et la gouttière !
Comme le rouge et la colère !
Comme la femme et la guêpière !
Comme la paix et la guerre !
Comme l’argent et l’héritière !
Comme le vent et la montgolfière !
Comme le charme et la lavandière !
Comme le plaisir et le pervers !
Comme le désir et l’incendiaire !
Comme le poing et la vipère !
Comme le poison et la meurtrière !
Comme le bijoux et la perlière !
Comme la fleur vierge et la belle rosière !
Caliente
Illuna
Les bienfaits éternels, des perles d'une pluie dorée...
« La fontaine des songes éternels »
Pluie magique aux bienfaits solennels
Source pudique aux effets exceptionnels
Eau nostalgique aux concepts extra-sensoriels
Goutte à goutte hypnotique aux préceptes fusionnels
Ondée fantasmagorique à l’imaginaire passionnel
Flux et reflux épique aux pensées pleines d’étincelles
Marée pacifique aux va-et-vient des plus émotionnels
Parfum dithyrambique aux charmes des plus essentiels
Flot mirifique telle une corde d’abondance exponentielle
Puits cyclique dont l’eau, source de toute vie, est originelle
Jardin d’Eden hystérique aux effluves magiques et rebelles
Oasis ou Alhambra féerique aux rêves encore plein d’elles (*)
Doré, fée des temps modernes, un peu Morgane, un peu Viviane
Doré, magicien de nos épidermes, un peu Aladin, un peu Merlin…
Caliente
Illuna
(*) elle = sous-entendu, la bête, la bête dorée…
Pluie magique aux bienfaits solennels
Source pudique aux effets exceptionnels
Eau nostalgique aux concepts extra-sensoriels
Goutte à goutte hypnotique aux préceptes fusionnels
Ondée fantasmagorique à l’imaginaire passionnel
Flux et reflux épique aux pensées pleines d’étincelles
Marée pacifique aux va-et-vient des plus émotionnels
Parfum dithyrambique aux charmes des plus essentiels
Flot mirifique telle une corde d’abondance exponentielle
Puits cyclique dont l’eau, source de toute vie, est originelle
Jardin d’Eden hystérique aux effluves magiques et rebelles
Oasis ou Alhambra féerique aux rêves encore plein d’elles (*)
Doré, fée des temps modernes, un peu Morgane, un peu Viviane
Doré, magicien de nos épidermes, un peu Aladin, un peu Merlin…
Caliente
Illuna
(*) elle = sous-entendu, la bête, la bête dorée…
La petite mort du soleil...
« Sommeil éternel au pied des femelles »
Il est mort le soleil quand tu m’as quittée
Il est mort sans pareil, plus jamais à mes côtés
Il est mort, son ombre veille, plein d’abîmes écœurés
Il est mort, en sommeil, voile sur les cimes enneigées
Il est mort, plus d’écueil, sa belle lame s’est brisée
Il est mort, je porte le deuil, de sa belle âme tant aimée
Il est mort, sans plus d’orgueil, divin ménestrel estampillé
Il est mort, quelques lignes en recueil, astre bien trop adoré
Il est mort, dans le plus simple appareil, sa peau ambrée
Il est mort, que l’on me réveille, où est donc sa chair dorée ?
Il est mort le soleil et ma soif ne sera plus jamais étanchée
Il est mort le soleil et ma faim ne sera plus jamais rassasiée…
Il est mort, et pour simple écueil, sur mes souvenirs, je porte un regard anobli
Il est mort, et plus rien, je ne cueille, sur mes songes, je grave ses sillons alourdi
Il est mort, tombée de l’arbre, la feuille, sur mes rêves, je glisse un voile assombri
Il est mort, plus jamais, il ne m’effeuille, sur mes désirs, je goûte un miel appauvri
Il est mort, son parfum chèvrefeuille hante d’anciens plaisirs, je dénote un ciel alangui
Il est mort, bien que m’y faire, je ne veuille, de lui toujours m’étourdir, je pleure un amour interdit…
Caliente
Illuna
Il est mort le soleil quand tu m’as quittée
Il est mort sans pareil, plus jamais à mes côtés
Il est mort, son ombre veille, plein d’abîmes écœurés
Il est mort, en sommeil, voile sur les cimes enneigées
Il est mort, plus d’écueil, sa belle lame s’est brisée
Il est mort, je porte le deuil, de sa belle âme tant aimée
Il est mort, sans plus d’orgueil, divin ménestrel estampillé
Il est mort, quelques lignes en recueil, astre bien trop adoré
Il est mort, dans le plus simple appareil, sa peau ambrée
Il est mort, que l’on me réveille, où est donc sa chair dorée ?
Il est mort le soleil et ma soif ne sera plus jamais étanchée
Il est mort le soleil et ma faim ne sera plus jamais rassasiée…
Il est mort, et pour simple écueil, sur mes souvenirs, je porte un regard anobli
Il est mort, et plus rien, je ne cueille, sur mes songes, je grave ses sillons alourdi
Il est mort, tombée de l’arbre, la feuille, sur mes rêves, je glisse un voile assombri
Il est mort, plus jamais, il ne m’effeuille, sur mes désirs, je goûte un miel appauvri
Il est mort, son parfum chèvrefeuille hante d’anciens plaisirs, je dénote un ciel alangui
Il est mort, bien que m’y faire, je ne veuille, de lui toujours m’étourdir, je pleure un amour interdit…
Caliente
Illuna
vendredi 28 novembre 2008
Son art nous dévore...
« La passion de son art »
Enfermé dans une bulle dont la soie nous inonde
Lové dans l’écume dont les folles eaux abondent
Niché la source d’un péché à l’ivresse vagabonde
Perché au firmament, tel offrande emplie de bonnes ondes
Ensorcelé au divin écrin de sa passion, exquise et gironde
Envouté par le miel intuitif et créatif, belle âme si féconde
Espéré par toutes, sollicité tel le nirvana, il nous dévergonde
Désiré de toute part, il résiste, il persiste, son charme abonde
Et nos oreilles, par ses bienfaits, sont ainsi de plus en plus fécondes
Et nos lèvres, par ses bouleversants essais, sont de plus en plus rubicondes
Caliente
Illuna
Enfermé dans une bulle dont la soie nous inonde
Lové dans l’écume dont les folles eaux abondent
Niché la source d’un péché à l’ivresse vagabonde
Perché au firmament, tel offrande emplie de bonnes ondes
Ensorcelé au divin écrin de sa passion, exquise et gironde
Envouté par le miel intuitif et créatif, belle âme si féconde
Espéré par toutes, sollicité tel le nirvana, il nous dévergonde
Désiré de toute part, il résiste, il persiste, son charme abonde
Et nos oreilles, par ses bienfaits, sont ainsi de plus en plus fécondes
Et nos lèvres, par ses bouleversants essais, sont de plus en plus rubicondes
Caliente
Illuna
jeudi 27 novembre 2008
D'avantage en avantage...
« Quelques avantages, dont il faut que je vous parle »
ou
« Quelques ravages, beaux comme des ciels d’orage »
Le miel de cœur à l’ouvrage
La peur en son ventre, en partage
Les belles rondeurs, pas très sage
Les belles rougeurs, nous prenant, en otage
La beauté sans la laideur, pas de carnage
La merveille des langueurs, et nous, sans âge
Le fier noceur, si émouvant azurage
Le fougueux bretteur, si affolant échouage
L’homme plein d’honneur, tire avantage
La bête de scène, pas d’erreur, si bel arrivage
Caliente
Illuna
ou
« Quelques ravages, beaux comme des ciels d’orage »
Le miel de cœur à l’ouvrage
La peur en son ventre, en partage
Les belles rondeurs, pas très sage
Les belles rougeurs, nous prenant, en otage
La beauté sans la laideur, pas de carnage
La merveille des langueurs, et nous, sans âge
Le fier noceur, si émouvant azurage
Le fougueux bretteur, si affolant échouage
L’homme plein d’honneur, tire avantage
La bête de scène, pas d’erreur, si bel arrivage
Caliente
Illuna
Bête de scène...
« Cheval fou, gonflé d’orgueil »
Tu poudres l’espace de ta fièvre
Tu agites les délices de ta crinière
Tu mystifies l’étendue de nos envies
Tu multiplies les déconvenues de nos folies
Tu ondules ta substance avec fougue
Tu stimules ta bestialité par vague
Tu allonges ta foulée par touche débridée
Tu prolonges le plaisir par note hurlée
Tu donnes et reprends, nos cœurs sont en sang
Tu abandonnes et l’on prend, nos peurs dans le vent
Tu bascules dans le mystique avec nos ovations
Tu bouscules le christique avec des incantations
Tu cernes nos doutes, et nous en délivre, dépravation
Tu fermes nos routes, et à toi, nous ramène, dégustation
Fou, libre, ruant dans les brancards, cheval indompté
Fou, libre, les sabots claquant au vent, étalon que l’on rêve bien monté
Fou, libre, les naseaux festoyant, fringuant, mustang, de nous , tant adoré
Fou, libre, les prunelles osant, sur nos détresses se posant, bel équidé, si désiré
Fou, libre, les crins nous affolant, divin, pur-sang distingué, destrier par nos diableries, presque affolé, enfiévré…
Caliente
Illuna
Tu poudres l’espace de ta fièvre
Tu agites les délices de ta crinière
Tu mystifies l’étendue de nos envies
Tu multiplies les déconvenues de nos folies
Tu ondules ta substance avec fougue
Tu stimules ta bestialité par vague
Tu allonges ta foulée par touche débridée
Tu prolonges le plaisir par note hurlée
Tu donnes et reprends, nos cœurs sont en sang
Tu abandonnes et l’on prend, nos peurs dans le vent
Tu bascules dans le mystique avec nos ovations
Tu bouscules le christique avec des incantations
Tu cernes nos doutes, et nous en délivre, dépravation
Tu fermes nos routes, et à toi, nous ramène, dégustation
Fou, libre, ruant dans les brancards, cheval indompté
Fou, libre, les sabots claquant au vent, étalon que l’on rêve bien monté
Fou, libre, les naseaux festoyant, fringuant, mustang, de nous , tant adoré
Fou, libre, les prunelles osant, sur nos détresses se posant, bel équidé, si désiré
Fou, libre, les crins nous affolant, divin, pur-sang distingué, destrier par nos diableries, presque affolé, enfiévré…
Caliente
Illuna
Compromission dorée
« De la séduction à l’adoration »
ou
« De la confusion à l’extrême onction »
ou
« De l’addiction à la soumission »
ou
« De la confusion à l’extrême onction »
ou
« De l’addiction à la soumission »
Un peu de Morrison en lui, beaucoup de frissons en nous
Un peu de bohême en lui, autant de « je t’aime » en nous
Un peu de fièvre en lui, et tant de lèvres offertes à son culte
Un peu de mystère en lui, et nous, d’être fière et tumulte
Un peu de suée sur lui, beaucoup de comblée en nos rangs
Un peu d’hormone mâle autour de lui, et nous, tout de sang
Un peu de révolte après lui, et nous, en mode récolte, comblée
Un peu désinvolte, c’est tout lui, et nous d’en redemander, scotchée
Un peu de bohême en lui, autant de « je t’aime » en nous
Un peu de fièvre en lui, et tant de lèvres offertes à son culte
Un peu de mystère en lui, et nous, d’être fière et tumulte
Un peu de suée sur lui, beaucoup de comblée en nos rangs
Un peu d’hormone mâle autour de lui, et nous, tout de sang
Un peu de révolte après lui, et nous, en mode récolte, comblée
Un peu désinvolte, c’est tout lui, et nous d’en redemander, scotchée
Un peu d’offrande à ses contours, et tant d’attente de notre part
Un peu de sarabande à ses atours, bête élégante, il hante nos remparts
Un peu de dorure en ses parures, et nos échancrures, pour lui de s’ouvrir
Un peu d’ordure en lui, fioriture, et nos blessures, pour lui d’en souffrir
Un peu d’âme, un peu de larme et nos armes de s’envoler, soumises
Un peu artisanale, un peu mélodrame, d’un rien il nous désarme, conquises
Un peu, si peu et nos réactions sont avec lui, alunissons
Un peu, si peu et nos passions sont pour lui, douces pâmoisons
Caliente
Illuna
Un peu de sarabande à ses atours, bête élégante, il hante nos remparts
Un peu de dorure en ses parures, et nos échancrures, pour lui de s’ouvrir
Un peu d’ordure en lui, fioriture, et nos blessures, pour lui d’en souffrir
Un peu d’âme, un peu de larme et nos armes de s’envoler, soumises
Un peu artisanale, un peu mélodrame, d’un rien il nous désarme, conquises
Un peu, si peu et nos réactions sont avec lui, alunissons
Un peu, si peu et nos passions sont pour lui, douces pâmoisons
Caliente
Illuna
mercredi 26 novembre 2008
Un peu, beaucoup mais en fait, jamais assez...
« De miette en miette » ou « Les parcelles éternelles »
Des miettes de lui, des auréoles de son talent
Des miettes de lui, des zestes du bel ardent
Des miettes de lui, des parcelles d’un insolent
Des miettes de lui, et l’automne a un goût de printemps
Des miettes de lui, et l’enfer devient un paradis charmantDes miettes de lui, et le froid bleuté nous frôle en fol amant
Des miettes de lui, des zestes du bel ardent
Des miettes de lui, des parcelles d’un insolent
Des miettes de lui, et l’automne a un goût de printemps
Des miettes de lui, et l’enfer devient un paradis charmantDes miettes de lui, et le froid bleuté nous frôle en fol amant
Des miettes de lui, dégoulinant, perturbant, émouvant
Des miettes de lui, luisant, longeant, plongeant, se noyant
Des miettes de lui, innovant, essayant, osant, se trompant
Des miettes de lui, espérant, attendant, donnant, partageant
Des miettes de lui, s’offrant, séduisant, domptant, blessantDes miettes de lui, nous spoliant, nous implorant, bouleversant
Des miettes de lui, luisant, longeant, plongeant, se noyant
Des miettes de lui, innovant, essayant, osant, se trompant
Des miettes de lui, espérant, attendant, donnant, partageant
Des miettes de lui, s’offrant, séduisant, domptant, blessantDes miettes de lui, nous spoliant, nous implorant, bouleversant
lundi 24 novembre 2008
Ombre ambrée aux jets de lumière dorée...
« Sacrifice, entre chair et sang »
Troubadour ou trouvère, parfois ton sort me désespère…
Ombre ou lumière, toujours de ton art, tu persévères…
Trouble ou amer, souvent d’amour, tu nous inondes, par devers…
Chevaliers des temps modernes
Sur ton chemin, gentes dames se prosternent
Nobliau outrageux autant qu’orgueilleux
Sur ton chemin, tant de belles dames au teint soyeux
Damoiseau osant et de lui se moquant
Sur ton chemin, nobles donzelles de toi, rêvant
Seigneur des nymphes autant que des limbes
Sur ton chemin, damoiselles aux seins de nimbes
Cavalier preux, simple et courageux
Sur ton chemin, des oiselles aux dorés cheveux
Paladin se baladant, altier et conquérant
Sur ton chemin, inestimables femelles, te désirant
Autant te le dire, tout de suite…
L’ordre des templiers n’est plus ce qu’il était…
Autrefois, sur l’autel, béatifié et sanctifié,
De nos jours, à l’hôtel, mortifié et sacrifié…
Sang de taureau, bien trop près de l’anneau…
Sang du tout beau, bien trop fier en arceau…
Caliente
Illuna
Troubadour ou trouvère, parfois ton sort me désespère…
Ombre ou lumière, toujours de ton art, tu persévères…
Trouble ou amer, souvent d’amour, tu nous inondes, par devers…
Chevaliers des temps modernes
Sur ton chemin, gentes dames se prosternent
Nobliau outrageux autant qu’orgueilleux
Sur ton chemin, tant de belles dames au teint soyeux
Damoiseau osant et de lui se moquant
Sur ton chemin, nobles donzelles de toi, rêvant
Seigneur des nymphes autant que des limbes
Sur ton chemin, damoiselles aux seins de nimbes
Cavalier preux, simple et courageux
Sur ton chemin, des oiselles aux dorés cheveux
Paladin se baladant, altier et conquérant
Sur ton chemin, inestimables femelles, te désirant
Autant te le dire, tout de suite…
L’ordre des templiers n’est plus ce qu’il était…
Autrefois, sur l’autel, béatifié et sanctifié,
De nos jours, à l’hôtel, mortifié et sacrifié…
Sang de taureau, bien trop près de l’anneau…
Sang du tout beau, bien trop fier en arceau…
Caliente
Illuna
dimanche 23 novembre 2008
Rugir de plaisir auprès des contours dorés...
« Le rugissement de la bête, entre force et fêlure, entre féline et fête »
Il insuffle la vie jusqu’à l’entame de la folie
Il souffle le chaud et froid jusqu’en « Absurdie »
Il regorge d’envies, de plus en plus fatales, à nos vies
Il fustige les orgies, nous décline une onctueuse agonie
Il dynamise la houle, au fil de ses marées, nous bonifie
Il hypnotise la foule, la rend ainsi de plus en plus enhardie
Il convie à une grand messe, ses plus fidèles amies
Il dévie nos besoins premiers vers d’adorables coquineries
Il brise nos émois pudiques et leur inflige des choix plus critiques
Il s’avise de nos abandons, les rend plus spasmodiques, angéliques
Il étend son pouvoir, de son enivrante calligraphie, sur nos cartographies
Il entend battre nos cœurs dans le noir, nuit sans parodie, nuit d’extasie
Il lutte au moyen de charmes déloyaux pour assouvir son règne, ses lubies
Il débute avec des armes fatales, nobliau, pour s’ouvrir duègne, ses baronnies
Il se proclame roi d’un monde où les femmes se consument avec espièglerie
Il s’exclame et notre foi s’inonde d’un homme dont notre éternelle soif, se veut inassouvie…
Caliente
Illuna
Il insuffle la vie jusqu’à l’entame de la folie
Il souffle le chaud et froid jusqu’en « Absurdie »
Il regorge d’envies, de plus en plus fatales, à nos vies
Il fustige les orgies, nous décline une onctueuse agonie
Il dynamise la houle, au fil de ses marées, nous bonifie
Il hypnotise la foule, la rend ainsi de plus en plus enhardie
Il convie à une grand messe, ses plus fidèles amies
Il dévie nos besoins premiers vers d’adorables coquineries
Il brise nos émois pudiques et leur inflige des choix plus critiques
Il s’avise de nos abandons, les rend plus spasmodiques, angéliques
Il étend son pouvoir, de son enivrante calligraphie, sur nos cartographies
Il entend battre nos cœurs dans le noir, nuit sans parodie, nuit d’extasie
Il lutte au moyen de charmes déloyaux pour assouvir son règne, ses lubies
Il débute avec des armes fatales, nobliau, pour s’ouvrir duègne, ses baronnies
Il se proclame roi d’un monde où les femmes se consument avec espièglerie
Il s’exclame et notre foi s’inonde d’un homme dont notre éternelle soif, se veut inassouvie…
Caliente
Illuna
La belle "dorée" qui comble nos oreilles...
« Il regorge de maints désirs encore inassouvis,
comme d’autres s’égorgent à plaisir et à loisir »
Les ailes déployées, la voix lyrique, belle et si émouvante envolée
Des belles éplorées, le cristal lubrique, se rit de la singulière outragée
Les rives abordées, la tessiture si caractéristique se joue de nos âmes énamourées
Des femelles implorées, le diamant brut et cyclique se plaît à les déflorer, bafouées
Les foudres libérées, le musicien épique nous soumet à son art, frustrées et adorées
Des éternelles explorées, la substance dorée et sphérique, conquiert chacune de nos allées
Les tempêtes déchaînées, l’artiste caustique jase nos dernières résistances, soumises et brisées
Des dentelles dévoilées, l’or magique, féerique, s’insinue facile et nous estime ainsi comblées
Les orages chevauchés, le bel canto peu académique longe nos silhouettes, frôlées et froissées
Des donzelles violées, par un inestimable cantique, enfin de son talent, achevées et sublimées
Caliente
Illuna
comme d’autres s’égorgent à plaisir et à loisir »
Les ailes déployées, la voix lyrique, belle et si émouvante envolée
Des belles éplorées, le cristal lubrique, se rit de la singulière outragée
Les rives abordées, la tessiture si caractéristique se joue de nos âmes énamourées
Des femelles implorées, le diamant brut et cyclique se plaît à les déflorer, bafouées
Les foudres libérées, le musicien épique nous soumet à son art, frustrées et adorées
Des éternelles explorées, la substance dorée et sphérique, conquiert chacune de nos allées
Les tempêtes déchaînées, l’artiste caustique jase nos dernières résistances, soumises et brisées
Des dentelles dévoilées, l’or magique, féerique, s’insinue facile et nous estime ainsi comblées
Les orages chevauchés, le bel canto peu académique longe nos silhouettes, frôlées et froissées
Des donzelles violées, par un inestimable cantique, enfin de son talent, achevées et sublimées
Caliente
Illuna
samedi 22 novembre 2008
La saveur du bonheur, belle et bien dorée...
« Petite halte, pour goûter au bonheur »
Le bonheur a de bien jolies couleurs
Le bonheur a un esprit charmant et frondeur
Le bonheur a un sens interdit face au malheur
Le bonheur est un fieffé jouisseur
Le bonheur est parfois un vrai glandeur
Le bonheur est aussi un sacré noceur
Le bonheur a un sourire très farceur
Le bonheur a, à sa boutonnière, de jolies fleurs
Le bonheur a parfois droit à quelques erreurs
Le bonheur est un nid de gouailleurs
Le bonheur est un mec qui a du cœur
Le bonheur est une pâtisserie pleine de saveurs
Le bonheur est doré, sucré, salé, comblé, je me meurs
Le bonheur est doré, adulé, adoré, admiré, j’en ai bien peur
Le bonheur est doré, copié, envié mais jamais ignoré, quelle horreur
Le bonheur est doré, encensé, énamouré, il m’émeut, et parfois, j’en pleurs…
Caliente
Illuna
Le bonheur a de bien jolies couleurs
Le bonheur a un esprit charmant et frondeur
Le bonheur a un sens interdit face au malheur
Le bonheur est un fieffé jouisseur
Le bonheur est parfois un vrai glandeur
Le bonheur est aussi un sacré noceur
Le bonheur a un sourire très farceur
Le bonheur a, à sa boutonnière, de jolies fleurs
Le bonheur a parfois droit à quelques erreurs
Le bonheur est un nid de gouailleurs
Le bonheur est un mec qui a du cœur
Le bonheur est une pâtisserie pleine de saveurs
Le bonheur est doré, sucré, salé, comblé, je me meurs
Le bonheur est doré, adulé, adoré, admiré, j’en ai bien peur
Le bonheur est doré, copié, envié mais jamais ignoré, quelle horreur
Le bonheur est doré, encensé, énamouré, il m’émeut, et parfois, j’en pleurs…
Caliente
Illuna
vendredi 21 novembre 2008
Julien et le reste du monde...
« Un, mais quel un ! »
Un parmi tant d’autres, rien qu’à l’énoncé, j’ai des difficultés avec ce principe vieux comme le monde et donc si banal
Un parmi les autres, cela ne me sied guère non plus, comme si j’étais affligée d’une perte considérable de capital
Un avec les autres, oui, bien sûr, nul ne vit seul, totalement isolé mais pourquoi cela m’inflige soudain un bien petit moral ?
Un loin au dessus des autres, un si grand talent qu’il ne peut, ni ne veut craindre l’ombre d’aucun autre talent, soyons libéral
Lui et rien d’autre, là enfin, je me sens un peu plus en terrain connu, je me sens bien, même si j’ai d’autres belles amours au grand bal
Lui, plus que tout autre, enfin une formule qui n’exclut pas les autres mais qui lui dessine des contours artistiques et charismatiques, tout à fait fatals
Lui, qui me rend toute autre, toute chose, à son écoute, à sa suite, à ses pulsions, j’oscille entre précipices et hauteurs, je deviens plus que jamais intersidérale…
Caliente
Illuna
Un parmi tant d’autres, rien qu’à l’énoncé, j’ai des difficultés avec ce principe vieux comme le monde et donc si banal
Un parmi les autres, cela ne me sied guère non plus, comme si j’étais affligée d’une perte considérable de capital
Un avec les autres, oui, bien sûr, nul ne vit seul, totalement isolé mais pourquoi cela m’inflige soudain un bien petit moral ?
Un loin au dessus des autres, un si grand talent qu’il ne peut, ni ne veut craindre l’ombre d’aucun autre talent, soyons libéral
Lui et rien d’autre, là enfin, je me sens un peu plus en terrain connu, je me sens bien, même si j’ai d’autres belles amours au grand bal
Lui, plus que tout autre, enfin une formule qui n’exclut pas les autres mais qui lui dessine des contours artistiques et charismatiques, tout à fait fatals
Lui, qui me rend toute autre, toute chose, à son écoute, à sa suite, à ses pulsions, j’oscille entre précipices et hauteurs, je deviens plus que jamais intersidérale…
Caliente
Illuna
jeudi 20 novembre 2008
La voie dorée pour une voix en or...
« Frisson, douce contribution de mon corps, en réponse à tout ton or »
Entre violon et violence
Entre passion et patience
Entre légion et légende
Entre frisson et friande
Entre émotion et « émouvance »
Entre pulsion et pénitence
Entre dévotion et envoûtante
Entre compassion et comparante
Entre blessée et blessante
Entre aimée et aimante
Entre adoré et adorable
Entre adulé et admirable
Entre exception et acceptation
Entre pénétration et capitulation
Entre deux mots hurlés, ta voix brûlée
Entre deux mots susurrés, ta tessiture frustrée
Entre deux mots feutrés, ta gorge idolâtrée
Entre deux mots inspirés, ton son pur et adoré
Entre deux mots insufflés, ta belle œuvre dorée
Caliente
Illuna
Entre violon et violence
Entre passion et patience
Entre légion et légende
Entre frisson et friande
Entre émotion et « émouvance »
Entre pulsion et pénitence
Entre dévotion et envoûtante
Entre compassion et comparante
Entre blessée et blessante
Entre aimée et aimante
Entre adoré et adorable
Entre adulé et admirable
Entre exception et acceptation
Entre pénétration et capitulation
Entre deux mots hurlés, ta voix brûlée
Entre deux mots susurrés, ta tessiture frustrée
Entre deux mots feutrés, ta gorge idolâtrée
Entre deux mots inspirés, ton son pur et adoré
Entre deux mots insufflés, ta belle œuvre dorée
Caliente
Illuna
La bénédiction dorée...
« La passion selon Saint-Julien »
La passion, une voix qui s’élève
La passion, un chant qui envoûte
L’émotion, une mélodie qui brille
L’émotion, une panoplie qui scintille
La consolation, un cœur qui bat alunissons
La consolation, une sœur qui là, est frisson
Les pulsions, un manège que rien n’arrête
Les pulsions, un solfège qui ne s’apprête
Les divagations, un cri rauque dans la nuit
Les divagations, des ribaudes qu’on ne fuit
Les explorations, un partage divin sans nom
Les explorations, une part d’ange défie son nom
Les palpitations, une osmose qui presque tout ose
Les palpitations, une rose, divine et sublime overdose
L’adoration, une enveloppe charnelle avec des amorces éternelles
L’adoration, une approche exceptionnelle de ses belles ritournelles
Caliente
Illuna
La passion, une voix qui s’élève
La passion, un chant qui envoûte
L’émotion, une mélodie qui brille
L’émotion, une panoplie qui scintille
La consolation, un cœur qui bat alunissons
La consolation, une sœur qui là, est frisson
Les pulsions, un manège que rien n’arrête
Les pulsions, un solfège qui ne s’apprête
Les divagations, un cri rauque dans la nuit
Les divagations, des ribaudes qu’on ne fuit
Les explorations, un partage divin sans nom
Les explorations, une part d’ange défie son nom
Les palpitations, une osmose qui presque tout ose
Les palpitations, une rose, divine et sublime overdose
L’adoration, une enveloppe charnelle avec des amorces éternelles
L’adoration, une approche exceptionnelle de ses belles ritournelles
Caliente
Illuna
Sexy Lady more than sexy body or sexy mystery...
« Entre sexe parade et sexe bravade »
Dépravée à ton corps défendant
Ensanglantée à ton corps défendu
Laminée à ton corps bien alléchant
Enflammée à ton corps si bien fichu
Comblée à ton corps sexy s’exclamant
Lovée à ton corps sexe qui ne s’exclut
Cajolée à ton corps m’éclaboussant
Câlinée à ton corps en éclat d’obus
Cernée à ton corps s’enflammant
Cinglée à ton corps d’enfant si ému
Brûlée à ton corps ondulant et irradiant
Passionnée à ton corps adulé au désir ardu
Idolâtrée à ton corps miroitant et jouissant
Adorée à ton corps de roi si joliment charnu
Explosée à ton corps aux drames si diffament
Implorée à ton corps au charme sciemment diffus
Enamourée à ton corps amant, d’orgueil se gonflant
Ecartelée à ton corps ému, orgue nu, pointu et si goulu
Caliente
Illuna
Dépravée à ton corps défendant
Ensanglantée à ton corps défendu
Laminée à ton corps bien alléchant
Enflammée à ton corps si bien fichu
Comblée à ton corps sexy s’exclamant
Lovée à ton corps sexe qui ne s’exclut
Cajolée à ton corps m’éclaboussant
Câlinée à ton corps en éclat d’obus
Cernée à ton corps s’enflammant
Cinglée à ton corps d’enfant si ému
Brûlée à ton corps ondulant et irradiant
Passionnée à ton corps adulé au désir ardu
Idolâtrée à ton corps miroitant et jouissant
Adorée à ton corps de roi si joliment charnu
Explosée à ton corps aux drames si diffament
Implorée à ton corps au charme sciemment diffus
Enamourée à ton corps amant, d’orgueil se gonflant
Ecartelée à ton corps ému, orgue nu, pointu et si goulu
Caliente
Illuna
mercredi 19 novembre 2008
Entre foudre et poudre dorée...
«Tandis que… »
Il implore le ciel et le firmament de son divin talent
Tandis que,
J’explore le miel et le filament de mon putain d’amant
Il vit là haut, comblé, dans un monde, bien plus beau
Tandis que,
Je survis ici bas, plombée, bien trop ronde, rien de nouveau
Il affine l’exquis et dément pouvoir de ses impudents élans
Tandis que,
Je me confine amante à ne voir que ses imprudents soleils levants
Il se parle à lui-même, entre rire et anglais, pour une plus grande clarté
Tandis que,
Je me parle à moi-même, de lui au charme, so british, mon bel écartelé
Il étale et pavane les sillons magiques de ses affolants et insolents pacifiques
Tandis que,
Je m’affale et me vanne sur ses papillons christiques de plus en plus fatidiques
Il dessine l’œuvre charnelle qui peu à peu, nous enferme et nous enflamme
Tandis que,
J’hallucine des preuves passionnelles, qui font de nous, d’éternelles femmes
Il plane, mi-esthète, mi-éphèbe dans des sphères théâtrales et intersidérales
Tandis que,
Je me condamne mi-fête, mi-bête dans une atmosphère des plus fatale et banale
Il libère la foudre et la fougue de ses vingt ans, tel un preste cheval fou
Tandis que,
Je vénère la poudre dorée qui bouge mes quarante ans, et le reste, je m’en fou !
Caliente
Illuna
Il implore le ciel et le firmament de son divin talent
Tandis que,
J’explore le miel et le filament de mon putain d’amant
Il vit là haut, comblé, dans un monde, bien plus beau
Tandis que,
Je survis ici bas, plombée, bien trop ronde, rien de nouveau
Il affine l’exquis et dément pouvoir de ses impudents élans
Tandis que,
Je me confine amante à ne voir que ses imprudents soleils levants
Il se parle à lui-même, entre rire et anglais, pour une plus grande clarté
Tandis que,
Je me parle à moi-même, de lui au charme, so british, mon bel écartelé
Il étale et pavane les sillons magiques de ses affolants et insolents pacifiques
Tandis que,
Je m’affale et me vanne sur ses papillons christiques de plus en plus fatidiques
Il dessine l’œuvre charnelle qui peu à peu, nous enferme et nous enflamme
Tandis que,
J’hallucine des preuves passionnelles, qui font de nous, d’éternelles femmes
Il plane, mi-esthète, mi-éphèbe dans des sphères théâtrales et intersidérales
Tandis que,
Je me condamne mi-fête, mi-bête dans une atmosphère des plus fatale et banale
Il libère la foudre et la fougue de ses vingt ans, tel un preste cheval fou
Tandis que,
Je vénère la poudre dorée qui bouge mes quarante ans, et le reste, je m’en fou !
Caliente
Illuna
dimanche 16 novembre 2008
Petit blues westernien...
« Petits plaisirs un peu à l’Ouest »
Qui le long de ses désirs féminins n’a jamais rêvé de prendre un certain James West, fort bel agent secret, dans ses filets ?
Qui n’a jamais songé à être en détresse afin que galant cow-boy ne prenne sa défense, avec style, noblesse de cœur et du plus bel effet ?
Qui n’a cessé d’espérer le long de ce divin feuilleton d’être secourue par ses mains agiles, vaillantes et efficaces, et qui sur nous laisseraient alors de fort belles traces ?
Qui n’a exulté lors de ses cascades, de ses fanfaronnades, lors de ses galéjades avec son comparse Arthémus et souhaité que cela perdure encore, pour de tels as ?
Car, il me faut bien l’avouer, une telle plastique est d’évidence, loin de me laisser insensible
Car, il me faut bien le reconnaître, ses mouvements athlétiques ont sur moi, valeur indéfectible
Car, il me faut bien l’envisager, sa beauté charismatique, m’enveloppe de désirs inavouables
Car, il me faut bien l’admettre, ses prises de risques critiques surnagent dans mes souvenirs, avec des effets de plus en plus inévitables
Fan, je suis restée totalement énamourée au fil des ans
Fan, je suis comblée, de beaux DVD, plein de tes plans
Fan, je suis animée de douces pensées allant en se sublimant
Fan, je suis troublée par des songes « westerniens » très excitants
Des retours en arrières qui sont comme des étoiles au firmament des souvenances
Famille où l’impétuosité du jeune homme faisait merveille, délices charismatiques
Famille où son impudence et sa fougue vous fouettaient les sens, de lui, boulimique
Des retours en ces nostalgies d’antan, de celles qui vous réchauffent encore, étrange transe…
Caliente
Qui le long de ses désirs féminins n’a jamais rêvé de prendre un certain James West, fort bel agent secret, dans ses filets ?
Qui n’a jamais songé à être en détresse afin que galant cow-boy ne prenne sa défense, avec style, noblesse de cœur et du plus bel effet ?
Qui n’a cessé d’espérer le long de ce divin feuilleton d’être secourue par ses mains agiles, vaillantes et efficaces, et qui sur nous laisseraient alors de fort belles traces ?
Qui n’a exulté lors de ses cascades, de ses fanfaronnades, lors de ses galéjades avec son comparse Arthémus et souhaité que cela perdure encore, pour de tels as ?
Car, il me faut bien l’avouer, une telle plastique est d’évidence, loin de me laisser insensible
Car, il me faut bien le reconnaître, ses mouvements athlétiques ont sur moi, valeur indéfectible
Car, il me faut bien l’envisager, sa beauté charismatique, m’enveloppe de désirs inavouables
Car, il me faut bien l’admettre, ses prises de risques critiques surnagent dans mes souvenirs, avec des effets de plus en plus inévitables
Fan, je suis restée totalement énamourée au fil des ans
Fan, je suis comblée, de beaux DVD, plein de tes plans
Fan, je suis animée de douces pensées allant en se sublimant
Fan, je suis troublée par des songes « westerniens » très excitants
Des réminiscences qui m’ont aussi relancée vers les Lancer
Famille mythique à mes yeux, moins sans doute, pour le grand public
Famille où s’activait un certain Johnny Madrid, l’un des fils Lancer
Famille mythique à mes yeux, moins sans doute, pour le grand public
Famille où s’activait un certain Johnny Madrid, l’un des fils Lancer
Des réminiscences d’un autre physique, à ma substance, tout aussi fatidique
Des envies de retomber en enfance, de longer les prairies du ranch L
Johnny ou le pouvoir de me faire planer en toute innocence, de me faire croire que je suis éternelle
Johnny ou un cavalier émérite, qui par sa nonchalance me court-circuite et à mes jeunes années, redonne des ailes
Johnny ou le pouvoir de me faire planer en toute innocence, de me faire croire que je suis éternelle
Johnny ou un cavalier émérite, qui par sa nonchalance me court-circuite et à mes jeunes années, redonne des ailes
Des envies de savourer en toute indifférence, ce temps où j’avais l’impudeur d’oser me trouver belle
Des retours en arrières qui sont comme des étoiles au firmament des souvenances
Famille où l’impétuosité du jeune homme faisait merveille, délices charismatiques
Famille où son impudence et sa fougue vous fouettaient les sens, de lui, boulimique
Des retours en ces nostalgies d’antan, de celles qui vous réchauffent encore, étrange transe…
Caliente
Une certaine vision de "Laisse tes mains sur mes hanches"...
« Laisse faire la vie »
Laisse ta charmante empreinte sur ma vie
Laisse des traces enivrantes sur mes envies
Laisse tes désirs les plus fous sur ma folie
Laisse tes rêves se fondrent en mon « absurdie »
Laisse ta musique longer ma douce alchimie
Laisse tes contours christiques charmer une étourdie
Laisse tes paradis adoucir mes enfers, si bien blottie
Laisse tes violences rencontrer mon impatience, bénie
Laisse des miettes d’amour frôler mes coquetteries
Laisse tes mots envahir l’espace déchiré de ma dyslexie
Laisse ton univers troublant butiner ma terre de nostalgie
Laisse tes effronteries s’exprimer librement avec féerie
Laisse ta féminité plonger dans l’indécence de mes énergies
Laisse ta part d’ange s’insurger de mes incroyables diableries
Laisse tes démons s’exprimer, aux confins de mes forfanteries
Laisse tes soleils dorés inonder mes ciels de lunes, allégorie
Laisse ta voix embellir l’espace, lui donner les couleurs de la galanterie
Laisse ton art conquérir nos substances, leur livrer ton cœur sans facétie
Laisse nous t’aimer sans te méfier
Laisse nous t’adorer sans te cacher
Laisse nous t’espérer sans t’asphyxier
Laisse nous t’idolâtrer sans t’en soucier…
Caliente
Illuna
Laisse ta charmante empreinte sur ma vie
Laisse des traces enivrantes sur mes envies
Laisse tes désirs les plus fous sur ma folie
Laisse tes rêves se fondrent en mon « absurdie »
Laisse ta musique longer ma douce alchimie
Laisse tes contours christiques charmer une étourdie
Laisse tes paradis adoucir mes enfers, si bien blottie
Laisse tes violences rencontrer mon impatience, bénie
Laisse des miettes d’amour frôler mes coquetteries
Laisse tes mots envahir l’espace déchiré de ma dyslexie
Laisse ton univers troublant butiner ma terre de nostalgie
Laisse tes effronteries s’exprimer librement avec féerie
Laisse ta féminité plonger dans l’indécence de mes énergies
Laisse ta part d’ange s’insurger de mes incroyables diableries
Laisse tes démons s’exprimer, aux confins de mes forfanteries
Laisse tes soleils dorés inonder mes ciels de lunes, allégorie
Laisse ta voix embellir l’espace, lui donner les couleurs de la galanterie
Laisse ton art conquérir nos substances, leur livrer ton cœur sans facétie
Laisse nous t’aimer sans te méfier
Laisse nous t’adorer sans te cacher
Laisse nous t’espérer sans t’asphyxier
Laisse nous t’idolâtrer sans t’en soucier…
Caliente
Illuna
mercredi 12 novembre 2008
Bien fière allure, il a, nanti de ses belles dorures...
« Un peu d’espoir au creux des larmes »
Dans toutes les larmes s’attarde un espoir
Dans toutes les peines se niche un amour perdu
Dans toutes les douleurs s’abrite un espoir
Dans toutes les blessures se cache un baiser déçu
Dans toutes les détresses surnage un espoir
Dans toutes les langueurs siège un cœur à nu
Dans toutes tes dorures surgit un fol espoir
Dans toutes tes échancrures sévit un bonheur tel qu’on l’a voulu !
Caliente
Illuna
Dans toutes les larmes s’attarde un espoir
Dans toutes les peines se niche un amour perdu
Dans toutes les douleurs s’abrite un espoir
Dans toutes les blessures se cache un baiser déçu
Dans toutes les détresses surnage un espoir
Dans toutes les langueurs siège un cœur à nu
Dans toutes tes dorures surgit un fol espoir
Dans toutes tes échancrures sévit un bonheur tel qu’on l’a voulu !
Caliente
Illuna
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