« Le rugissement de la bête, entre force et fêlure, entre féline et fête »
Il insuffle la vie jusqu’à l’entame de la folie
Il souffle le chaud et froid jusqu’en « Absurdie »
Il regorge d’envies, de plus en plus fatales, à nos vies
Il fustige les orgies, nous décline une onctueuse agonie
Il dynamise la houle, au fil de ses marées, nous bonifie
Il hypnotise la foule, la rend ainsi de plus en plus enhardie
Il convie à une grand messe, ses plus fidèles amies
Il dévie nos besoins premiers vers d’adorables coquineries
Il brise nos émois pudiques et leur inflige des choix plus critiques
Il s’avise de nos abandons, les rend plus spasmodiques, angéliques
Il étend son pouvoir, de son enivrante calligraphie, sur nos cartographies
Il entend battre nos cœurs dans le noir, nuit sans parodie, nuit d’extasie
Il lutte au moyen de charmes déloyaux pour assouvir son règne, ses lubies
Il débute avec des armes fatales, nobliau, pour s’ouvrir duègne, ses baronnies
Il se proclame roi d’un monde où les femmes se consument avec espièglerie
Il s’exclame et notre foi s’inonde d’un homme dont notre éternelle soif, se veut inassouvie…
Caliente
Illuna
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