dimanche 16 novembre 2008

Petit blues westernien...

« Petits plaisirs un peu à l’Ouest »

Qui le long de ses désirs féminins n’a jamais rêvé de prendre un certain James West, fort bel agent secret, dans ses filets ?
Qui n’a jamais songé à être en détresse afin que galant cow-boy ne prenne sa défense, avec style, noblesse de cœur et du plus bel effet ?

Qui n’a cessé d’espérer le long de ce divin feuilleton d’être secourue par ses mains agiles, vaillantes et efficaces, et qui sur nous laisseraient alors de fort belles traces ?
Qui n’a exulté lors de ses cascades, de ses fanfaronnades, lors de ses galéjades avec son comparse Arthémus et souhaité que cela perdure encore, pour de tels as ?



Car, il me faut bien l’avouer, une telle plastique est d’évidence, loin de me laisser insensible
Car, il me faut bien le reconnaître, ses mouvements athlétiques ont sur moi, valeur indéfectible

Car, il me faut bien l’envisager, sa beauté charismatique, m’enveloppe de désirs inavouables
Car, il me faut bien l’admettre, ses prises de risques critiques surnagent dans mes souvenirs, avec des effets de plus en plus inévitables

Fan, je suis restée totalement énamourée au fil des ans
Fan, je suis comblée, de beaux DVD, plein de tes plans
Fan, je suis animée de douces pensées allant en se sublimant
Fan, je suis troublée par des songes « westerniens » très excitants


Des réminiscences qui m’ont aussi relancée vers les Lancer
Famille mythique à mes yeux, moins sans doute, pour le grand public
Famille où s’activait un certain Johnny Madrid, l’un des fils Lancer
Des réminiscences d’un autre physique, à ma substance, tout aussi fatidique


Des envies de retomber en enfance, de longer les prairies du ranch L
Johnny ou le pouvoir de me faire planer en toute innocence, de me faire croire que je suis éternelle
Johnny ou un cavalier émérite, qui par sa nonchalance me court-circuite et à mes jeunes années, redonne des ailes
Des envies de savourer en toute indifférence, ce temps où j’avais l’impudeur d’oser me trouver belle




Des retours en arrières qui sont comme des étoiles au firmament des souvenances
Famille où l’impétuosité du jeune homme faisait merveille, délices charismatiques
Famille où son impudence et sa fougue vous fouettaient les sens, de lui, boulimique
Des retours en ces nostalgies d’antan, de celles qui vous réchauffent encore, étrange transe…

Caliente
Illuna







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