« Et cet air qui hante, ce qu’il reste de ma vie »
Le joueur de flûte,
Se conduit avec séduction tout comme une pute,
Se méconduit avec précaution poursuivant un but !
Le joueur de flûte,
Se contente de nous attirer dans ses filets christiques,
Nous sustente afin de nous happer à des fins mystiques !
Le joueur de flûte,
Enchante notre gorge d’un chant odieux mais si délicieux,
Enferme nos âmes au fil du méchant, délictueux, pernicieux !
Le joueur de flûte,
Lorgne vers nos chairs pour mieux nous ensorceler,
Guette vers nos airs hébétés pour mieux nous bercer !
Le joueur de flûte,
Nous culbute, le bon se meurt aux abords de son pouvoir,
Nous défroque, nos soupçons s’envolent, s’endort l’espoir !
Le joueur de flûte,
Implose nos volontés, il adore nous posséder autant que de nous déposséder…
Explose nos identités, il arbore un sourire cependant que de nous louvoyer, nous dévoyer…
Le joueur de flûte,
Trouve le repos dans nos esprits tourmentés, lorsqu’il les imprime,
Entrouvre bien trop tôt nos pensées violentées, lorsqu’il les supprime !
Le joueur de flûte,
Nous offre des illusions bien au-dessus de nos pauvres moyens,
Nous donne la confusion, sans le sous, capte les pauvres citoyens !
Le joueur de flûte,
N’a aucun préjugé de sexe, de race ou de religion, sa foi fait loi !
N’a de cesse de nous jauger, prétexte, espace ou effusion, sa loi fait foi !
Car si à son approche, à son écoute, tout, ici bas, se meurt…
Mais il n’est plus douce mort, que celle qui ouvre son cœur,
Partage nos errements et nos serments durant quelques heures,
Partage nos sentiments introduisant dans nos vies, une si belle erreur…
Caliente
Illuna
samedi 28 février 2009
mercredi 18 février 2009
Le mensonge, pour seul refuge...
« Femme qui se refuse, n’est qu’un cœur qui s’abuse »
Dis Julien, pourquoi avec nous, tu t’amuses ?
Dis Julien, pourrais-je en rêve, être ta muse ?
Dis Julien, arrête de nous la jouer, avec ruse !
Dis Julien, si je dis : « Je t’aime », j’abuse ?
Dis Julien, tu en vas pas t’enfuir, vieille buse ?
Dis Julien, ton charme nous ensorcelle, exquise excuse !
Dis Julien, l’amour en partage, et le bonheur fuse !
Dis Julien, tes envolées sont lyriques, et nous, si confuses !
Dis Julien, qui joue avec l’autre, je me sens l’intruse !
Dis Julien, à toi, le maître du jeu, parfois, je me refuse !
Dis Julien, ni avec toi, ni sans toi, suis-je quelque peu, obtuse ?
Dis Julien, tu aimes les femmes, mais avoue que parfois, cela t’use !
Et de ce Doré, bel amant mais si mal aimé, de ses bravades, je sors parfois bien percluse…
Et de ce Doré, bel amour, sur ses contours tout en saccades, je m’endors telle une recluse…
Caliente
Illuna
Dis Julien, pourquoi avec nous, tu t’amuses ?
Dis Julien, pourrais-je en rêve, être ta muse ?
Dis Julien, arrête de nous la jouer, avec ruse !
Dis Julien, si je dis : « Je t’aime », j’abuse ?
Dis Julien, tu en vas pas t’enfuir, vieille buse ?
Dis Julien, ton charme nous ensorcelle, exquise excuse !
Dis Julien, l’amour en partage, et le bonheur fuse !
Dis Julien, tes envolées sont lyriques, et nous, si confuses !
Dis Julien, qui joue avec l’autre, je me sens l’intruse !
Dis Julien, à toi, le maître du jeu, parfois, je me refuse !
Dis Julien, ni avec toi, ni sans toi, suis-je quelque peu, obtuse ?
Dis Julien, tu aimes les femmes, mais avoue que parfois, cela t’use !
Et de ce Doré, bel amant mais si mal aimé, de ses bravades, je sors parfois bien percluse…
Et de ce Doré, bel amour, sur ses contours tout en saccades, je m’endors telle une recluse…
Caliente
Illuna
dimanche 15 février 2009
Que les temps nouveaux me glacent !
« De ce temps qui passe, qui nous dépasse mais jamais ne trépasse »
Ce poème me vient tant de Virgule que de Julien, entre mort pensive et mort lascive…
De ce temps qui n’est plus tout à fait à l’ordre du jour
De ce temps qui m’est si cher pour ses si beaux détours
De ce temps qui m’importe au moins autant que l’amour
De ce temps qui m’offre encore un peu d’espoir aux alentours
De ce temps où l’abîme le plus obscur abritait une bluette
De ce temps où la rime se poudrait le nez pour conter fleurette
De ce temps où la belle mine ne cachait pas les temps de disette
De ce temps où la frime n’était pas de mise, charme et midinette
De ce temps, si doux, si délicieux à mon cœur, si fragile fleur
De ce temps, si flou, si soucieux des honneurs, de si belles erreurs
De ce temps, si fou, si délictueux à mes aigreurs, si onctueuses heures
De ce temps, si filou, si capricieux à mon bonheur, si estimable noceur
De ce temps, qui s’enfuit déjà, entre jardins d’antan et jadis, hier encore
De ce temps, qui s’encourt là-bas, entre autrefois et naguère, hier s’endort
De ce temps, qui s’en va loin au-delà, entre auparavant et d’anciens temps, amour à mort
De ce temps, qui s’échappe par delà, entre anciennes heures et temps perdus, vieil accord
De ce temps que mes yeux pleurent
De ce temps dont mes vieilles envies s’abreuvent
De ce temps que mon âme cherche, en vain, quelle épreuve
De ce temps dont mes pauvres folies font un souvenir, qui seul demeure !
Caliente
Illuna
Ce poème me vient tant de Virgule que de Julien, entre mort pensive et mort lascive…
De ce temps qui n’est plus tout à fait à l’ordre du jour
De ce temps qui m’est si cher pour ses si beaux détours
De ce temps qui m’importe au moins autant que l’amour
De ce temps qui m’offre encore un peu d’espoir aux alentours
De ce temps où l’abîme le plus obscur abritait une bluette
De ce temps où la rime se poudrait le nez pour conter fleurette
De ce temps où la belle mine ne cachait pas les temps de disette
De ce temps où la frime n’était pas de mise, charme et midinette
De ce temps, si doux, si délicieux à mon cœur, si fragile fleur
De ce temps, si flou, si soucieux des honneurs, de si belles erreurs
De ce temps, si fou, si délictueux à mes aigreurs, si onctueuses heures
De ce temps, si filou, si capricieux à mon bonheur, si estimable noceur
De ce temps, qui s’enfuit déjà, entre jardins d’antan et jadis, hier encore
De ce temps, qui s’encourt là-bas, entre autrefois et naguère, hier s’endort
De ce temps, qui s’en va loin au-delà, entre auparavant et d’anciens temps, amour à mort
De ce temps, qui s’échappe par delà, entre anciennes heures et temps perdus, vieil accord
De ce temps que mes yeux pleurent
De ce temps dont mes vieilles envies s’abreuvent
De ce temps que mon âme cherche, en vain, quelle épreuve
De ce temps dont mes pauvres folies font un souvenir, qui seul demeure !
Caliente
Illuna
Petit trépas sans grand fracas, ni tracas...
« Pourvu que la mort soit douce »
Pourvu qu’elle ait ton corps si soyeux
Pourvu qu’elle ait tes yeux à-demi bleus
Pourvu qu’elle ait ton chant si merveilleux
Pourvu qu’elle nous invite à de capiteux adieux
Pourvu qu’elle tangue entre la soie et le fiévreux
Pourvu qu’elle se plaise à nous voir en amoureux
Pourvu qu’elle puisse nous rendre heureux
Pourvu qu’elle nous propose aussi le sulfureux
Pourvu qu’elle offre le voluptueux et le délicieux
Pourvu qu’elle ose les contours et les détours audacieux
Pourvu qu’elle nous abrite du pluvieux et de l’ennuyeux
Pourvu qu’elle nous protège de nouveaux temps capricieux
Pourvu qu’elle nous ne sépare pas, restons à deux
Pourvu qu’elle nous encourage à rester irrévérencieux
Pourvu qu’elle nous emporte, qu’avant que d’être vieux
Caliente
Illuna
Pourvu qu’elle ait ton corps si soyeux
Pourvu qu’elle ait tes yeux à-demi bleus
Pourvu qu’elle ait ton chant si merveilleux
Pourvu qu’elle nous invite à de capiteux adieux
Pourvu qu’elle tangue entre la soie et le fiévreux
Pourvu qu’elle se plaise à nous voir en amoureux
Pourvu qu’elle puisse nous rendre heureux
Pourvu qu’elle nous propose aussi le sulfureux
Pourvu qu’elle offre le voluptueux et le délicieux
Pourvu qu’elle ose les contours et les détours audacieux
Pourvu qu’elle nous abrite du pluvieux et de l’ennuyeux
Pourvu qu’elle nous protège de nouveaux temps capricieux
Pourvu qu’elle nous ne sépare pas, restons à deux
Pourvu qu’elle nous encourage à rester irrévérencieux
Pourvu qu’elle nous emporte, qu’avant que d’être vieux
Caliente
Illuna
samedi 14 février 2009
dimanche 8 février 2009
Hier toujours ensemble, et demain à nouveau, ensemble...
« Hier, et pourtant, si loin déjà… »
Hier encore, insouciante, je frôlais la soie de tes oreilles, je caressais ton corps
Hier encore, insolents, nous nous plaisions à ignorer autant qu’à braver la mort
Hier encore, comme des enfants, nous pensions pouvoir nous jouer des coups du sort
Hier encore, innocents, nous osions affoler quant ce n’était provoquer, la vie de tout bord
Hier encore, je t’aimais, tu m’aimais, à nous deux, nous nous sentions incroyablement forts
Hier encore, je jubilais de ta présence qui m’offrait une fausse impression d’éternité, mais j’avais tort
Hier encore, je chérissais ton corps, le creux de tes pattes mélangés à mes doigts, en parfait accord
Hier encore, je m’attendrissais du moindre de tes gestes, je m’extasiais sur ta douce peau, couleur bouton-d’or
Hier encore, je t’appelais musclor, mon matador, monsignor, mon ténor mais surtout, mon cher trésor
Hier… c’était le bonheur…
Et aujourd’hui, je n’ai que mes yeux pour te pleurer et une charmante Prunelle pour m’enchanter mais survivre à ton absence n’est guère chose aisée, le silence m’étouffe, la saccade de ton souffle me manque, ce souffle de vie qui alternait et régulait ma vie… que faire sans toi, si ce n’est accepter l’inacceptable, essayer, tenter de survivre…
Maman… qui ne peut, ni ne veut t’oublier…
Hier encore, insouciante, je frôlais la soie de tes oreilles, je caressais ton corps
Hier encore, insolents, nous nous plaisions à ignorer autant qu’à braver la mort
Hier encore, comme des enfants, nous pensions pouvoir nous jouer des coups du sort
Hier encore, innocents, nous osions affoler quant ce n’était provoquer, la vie de tout bord
Hier encore, je t’aimais, tu m’aimais, à nous deux, nous nous sentions incroyablement forts
Hier encore, je jubilais de ta présence qui m’offrait une fausse impression d’éternité, mais j’avais tort
Hier encore, je chérissais ton corps, le creux de tes pattes mélangés à mes doigts, en parfait accord
Hier encore, je m’attendrissais du moindre de tes gestes, je m’extasiais sur ta douce peau, couleur bouton-d’or
Hier encore, je t’appelais musclor, mon matador, monsignor, mon ténor mais surtout, mon cher trésor
Hier… c’était le bonheur…
Et aujourd’hui, je n’ai que mes yeux pour te pleurer et une charmante Prunelle pour m’enchanter mais survivre à ton absence n’est guère chose aisée, le silence m’étouffe, la saccade de ton souffle me manque, ce souffle de vie qui alternait et régulait ma vie… que faire sans toi, si ce n’est accepter l’inacceptable, essayer, tenter de survivre…
Maman… qui ne peut, ni ne veut t’oublier…
Corps à corps avec la mort...
« Compagnon de perdition »
Baladin, faussement enfantin,
Larguant à qui ne s’en méfie,
Ses galéjades empreintes de mépris
Troubadour, messager d’un amour maudit,
Pour qui ne s’en protége, sortilège,
A fleur de peau, entre soucis et sursis
Un peu Rimbaud, un peu Maltese,
Un peu voyou des affres de la vie,
Un peu bandit enclin à un certain dédain
Un peu bohème, un peu « Je t’aime »,
Autant que je te hais et que je t’envie,
Tu hantes nos âmes fragiles, l’air hautain
Baladin, faussement enfantin,
Larguant à qui ne s’en méfie,
Ses galéjades empreintes de mépris
Troubadour, messager d’un amour maudit,
Pour qui ne s’en protége, sortilège,
A fleur de peau, entre soucis et sursis
Un peu Rimbaud, un peu Maltese,
Un peu voyou des affres de la vie,
Un peu bandit enclin à un certain dédain
Un peu bohème, un peu « Je t’aime »,
Autant que je te hais et que je t’envie,
Tu hantes nos âmes fragiles, l’air hautain
Pierrot dont l’astre est fatal pour qui s’en entiche,
Loin de toute lumière, loin de toute tendresse,
Le cœur piégé, rongé perd bien de sa douceur
Clown triste, sinistre, aux attouchements vénéneux,
Fleur carnivore, dévoreuse et plantureuse,
Loin de toute lumière, loin de toute tendresse,
Le cœur piégé, rongé perd bien de sa douceur
Clown triste, sinistre, aux attouchements vénéneux,
Fleur carnivore, dévoreuse et plantureuse,
De la nature, l’une de ses plus grandes erreurs
Beau dans son détachement, enclin à l’affolement,
Pour qui s’en approche d’un peu trop près,
Beau, oui si beau, à en finir, à en mourir
Détaché de l’humain, suffisamment que pour lui nuire,
Que pour l’emmener sur des chemins piégeux,
Sur une route 66 mythique, dont l’issue est belle, à en périr
Pour qui s’en approche d’un peu trop près,
Beau, oui si beau, à en finir, à en mourir
Détaché de l’humain, suffisamment que pour lui nuire,
Que pour l’emmener sur des chemins piégeux,
Sur une route 66 mythique, dont l’issue est belle, à en périr
Doré, d’un feu brûlant qui sème forfanteries,
Comme d’autres, d’habiles plaisanteries,
Pervers, amoral, d’une aura de perdition sans nom
Doré, le spleen assassin, le cœur ensanglanté,
L’âme violentée, pleine de nigauderies,
Revers d’une médaille, contradiction, l’absolu non
Comme d’autres, d’habiles plaisanteries,
Pervers, amoral, d’une aura de perdition sans nom
Doré, le spleen assassin, le cœur ensanglanté,
L’âme violentée, pleine de nigauderies,
Revers d’une médaille, contradiction, l’absolu non
Mais d’amères larmes obscurcissent mon jugement,
Dès que de ta personne, il est question, ton offense,
En réponse à mon offrande est la fin d’un temps des plus noir !
Mais à ton côté, tout se meurt, atrocement
Dès que ta substance inonde et afflue en mes sens,
En réponse à ton fluide rouge, je ferme mes yeux, ce soir !
Caliente
Illuna
Dès que de ta personne, il est question, ton offense,
En réponse à mon offrande est la fin d’un temps des plus noir !
Mais à ton côté, tout se meurt, atrocement
Dès que ta substance inonde et afflue en mes sens,
En réponse à ton fluide rouge, je ferme mes yeux, ce soir !
Caliente
Illuna
Bien au-dessus du niveau de l'eau...
« Tout là-haut… »
Là-haut, bien au-dessus du niveau de l’eau
Là-haut, parmi les anges et les oiseaux
Là-haut, si cher à mon cœur, mon tout beau
Et ici bas, quelques questions qui s’imposent à moi au fil des jours sans toi !
Là–haut, y a-t’il des draps plein de caresses ?
Là-haut, y a-t’il des oreillers plein de tendresse ?
Là-haut, y a-t’il des sommeils sans nulle détresse ?
Là-haut, y a-t’il un cher trésor pour faire ma richesse ?
Là-haut, Y a-t’il un amour de roi pour une princesse ?
Là-haut, y a-t’il un nectar divin pour faire mon ivresse ?
Là-haut, y a-t’il encore pour ce monde, un peu de ta délicatesse ?
Là-haut, y a-t’il un peu d’éternité pour mes derniers jours de jeunesse ?
Là-haut, y a-t-il un cœur fou qui bat la chamade avec beaucoup de liesse ?
Que de questions et si peu de réponses… et toujours, ce lourd silence, cette pesante absence…
Là-haut, dis-moi mon tout beau, mon petit taureau…est-ce que je te manque autant que tu me manques ?
Là-haut, dis-moi mon bel amour, mon fils pour toujours…est-ce qu’un instant équivaut à une année lumière ?
Oui, étrange question, mais ici bas, je le confesse, le manque de toi allonge mes jours, alourdit mes pensées et appauvrit mes nuits…
Maman à son bébé Bulle, à sa plume d’enfant chéri, à son Virgule…
Là-haut, bien au-dessus du niveau de l’eau
Là-haut, parmi les anges et les oiseaux
Là-haut, si cher à mon cœur, mon tout beau
Et ici bas, quelques questions qui s’imposent à moi au fil des jours sans toi !
Là–haut, y a-t’il des draps plein de caresses ?
Là-haut, y a-t’il des oreillers plein de tendresse ?
Là-haut, y a-t’il des sommeils sans nulle détresse ?
Là-haut, y a-t’il un cher trésor pour faire ma richesse ?
Là-haut, Y a-t’il un amour de roi pour une princesse ?
Là-haut, y a-t’il un nectar divin pour faire mon ivresse ?
Là-haut, y a-t’il encore pour ce monde, un peu de ta délicatesse ?
Là-haut, y a-t’il un peu d’éternité pour mes derniers jours de jeunesse ?
Là-haut, y a-t-il un cœur fou qui bat la chamade avec beaucoup de liesse ?
Que de questions et si peu de réponses… et toujours, ce lourd silence, cette pesante absence…
Là-haut, dis-moi mon tout beau, mon petit taureau…est-ce que je te manque autant que tu me manques ?
Là-haut, dis-moi mon bel amour, mon fils pour toujours…est-ce qu’un instant équivaut à une année lumière ?
Oui, étrange question, mais ici bas, je le confesse, le manque de toi allonge mes jours, alourdit mes pensées et appauvrit mes nuits…
Maman à son bébé Bulle, à sa plume d’enfant chéri, à son Virgule…
Moi sans toi, cela ne veut plus rien dire...
« La vie sans toi n’a plus la même saveur ! »
Elle manque cruellement de ton odeur
De cette odeur que je cherche, sans plus la trouver
Elle manque cruellement de ta douceur
De cette douceur que je chéris, sans plus la rencontrer
Elle manque cruellement de ta chaleur
De cette chaleur qui m’habite, sans plus d’écho pour la distiller
Elle manque cruellement de tes erreurs
De ces erreurs, si chères à mon cœur, et que personne ne viendra combler !
Elle manque cruellement de tes ardeurs
De ces ardeurs qui implosaient la vie, et dont toi seul, avait le secret, oublier…
Mais comment t’oublier, toi qui coule si puissamment dans mes veines,
Né de moi, de ma chair, de mon sang, je ne t’aurais davantage aimé…
Et de ne cesser de me dire, d’une voix obscure et sourde,
Que c’est triste la vie
Au temps des amours mortes
Que c’est triste la vie
Au temps des portes closes
Que c’est triste la vie
Au temps de l’oubli qui m’emporte
Que c’est triste la vie
Au temps des jours moroses
Que c’est triste la vie
Au temps des nuits cloportes
Que c’est triste la vie
Au temps des cœurs qui implosent
Que c’est de plus en plus triste, la vie
Quand je découvre que je n’ai plus envie !
Que c’est de plus en plus triste, la vie
Quand je me languis de toutes tes folies !
Maman…
Elle manque cruellement de ton odeur
De cette odeur que je cherche, sans plus la trouver
Elle manque cruellement de ta douceur
De cette douceur que je chéris, sans plus la rencontrer
Elle manque cruellement de ta chaleur
De cette chaleur qui m’habite, sans plus d’écho pour la distiller
Elle manque cruellement de tes erreurs
De ces erreurs, si chères à mon cœur, et que personne ne viendra combler !
Elle manque cruellement de tes ardeurs
De ces ardeurs qui implosaient la vie, et dont toi seul, avait le secret, oublier…
Mais comment t’oublier, toi qui coule si puissamment dans mes veines,
Né de moi, de ma chair, de mon sang, je ne t’aurais davantage aimé…
Et de ne cesser de me dire, d’une voix obscure et sourde,
Que c’est triste la vie
Au temps des amours mortes
Que c’est triste la vie
Au temps des portes closes
Que c’est triste la vie
Au temps de l’oubli qui m’emporte
Que c’est triste la vie
Au temps des jours moroses
Que c’est triste la vie
Au temps des nuits cloportes
Que c’est triste la vie
Au temps des cœurs qui implosent
Que c’est de plus en plus triste, la vie
Quand je découvre que je n’ai plus envie !
Que c’est de plus en plus triste, la vie
Quand je me languis de toutes tes folies !
Maman…
samedi 7 février 2009
Une montagne d'amour à la pointe de nos jours...
« La complainte de la butte, façon Nelle »
Comme un brave petit soldat, plein de courage, au pied d’une sainte montagne
Comme les bateaux perdus en mer, trop longtemps éloignés de leur chère Bretagne
Comme un espoir fou, un nouveau combat, pour notre petite et intrépide compagne
Comme une longue attente, un cher trésor qui attend les précieux fruits de son épargne
Comme Nelle, belle foudre au pied de son escalier, le cœur et l’espoir plein de hargne
Comme Nelle, rebelle à absoudre, amour tout en palier, fleur du soir qui se bat et gagne !
Et à celui qui m’a dit que tout ce qui se monte, ce peut être descendu, je répondrai que Nelle, adorable pucelle, escalade, monte, grimpe et agrippe tout ce qui passe à portée de sa volonté de belle montagnarde mais point encore rien ne descend… à méditer…surtout pour les jambes alors fusionnelles et providentielles de ses mamans (eh, oui dans ces moments-là, nous ne sommes souvent pas trop de deux !)…
Maman gavroche à sa petite brioche dont elle adore mordiller les abords de son ventre encore tout rose, doux et si cher souvenir de la petite enfance…
Comme un brave petit soldat, plein de courage, au pied d’une sainte montagne
Comme les bateaux perdus en mer, trop longtemps éloignés de leur chère Bretagne
Comme un espoir fou, un nouveau combat, pour notre petite et intrépide compagne
Comme une longue attente, un cher trésor qui attend les précieux fruits de son épargne
Comme Nelle, belle foudre au pied de son escalier, le cœur et l’espoir plein de hargne
Comme Nelle, rebelle à absoudre, amour tout en palier, fleur du soir qui se bat et gagne !
Et à celui qui m’a dit que tout ce qui se monte, ce peut être descendu, je répondrai que Nelle, adorable pucelle, escalade, monte, grimpe et agrippe tout ce qui passe à portée de sa volonté de belle montagnarde mais point encore rien ne descend… à méditer…surtout pour les jambes alors fusionnelles et providentielles de ses mamans (eh, oui dans ces moments-là, nous ne sommes souvent pas trop de deux !)…
Maman gavroche à sa petite brioche dont elle adore mordiller les abords de son ventre encore tout rose, doux et si cher souvenir de la petite enfance…
Prédatrice ou séductrice ?
« Petite louve,… »
Que d’un doux regard, je couve
Que d’un geste tendre, j’approuve
Qui de sa fougue, m’éprouve
Qui de son immense joie, me prouve
Qui sur une nouvelle vie, s’entrouvre
Qui sur nous, jette son envie, découvre
Qui de sa tendresse m’étouffe
Qui de sa beauté toute en touffes
Me donne des raisons d’espérer, des raisons d’encore chérir, m’attendrir et aimer
M’offre l’opportunité de combler, ce vide immense qui sans cesse vient m’inonder
Petite louve, moitié prune des bois, moitié fauve tout en soie, belle complicité
Petite louve, toute petite fille espiègle dont les prunelles sont serments d’éternité…
Maman…
Que d’un doux regard, je couve
Que d’un geste tendre, j’approuve
Qui de sa fougue, m’éprouve
Qui de son immense joie, me prouve
Qui sur une nouvelle vie, s’entrouvre
Qui sur nous, jette son envie, découvre
Qui de sa tendresse m’étouffe
Qui de sa beauté toute en touffes
Me donne des raisons d’espérer, des raisons d’encore chérir, m’attendrir et aimer
M’offre l’opportunité de combler, ce vide immense qui sans cesse vient m’inonder
Petite louve, moitié prune des bois, moitié fauve tout en soie, belle complicité
Petite louve, toute petite fille espiègle dont les prunelles sont serments d’éternité…
Maman…
dimanche 1 février 2009
Prune des bois en première goguette...
« La croisette »
La croisette, drôle de petite grenouille
Dont la position favorite part en quenouille
La croisette, de vedette à gribouille
Dont le croupion a jolie couleur de citrouille
La croisette, de beauté à vadrouille
Dont l’ambition est de faire valoir sa bouille
La croisette, friponne sensible aux chatouilles
Dont l’émotion à fleur de peau à mes oreilles, gazouille
La croisette, espiègle cœur qui sans cesse, tripatouille
Et dont l’étrange situation s’avère idéale pour les papouilles…
Maman, pour sa petite fleur, parfois un peu fripouille…
La croisette, drôle de petite grenouille
Dont la position favorite part en quenouille
La croisette, de vedette à gribouille
Dont le croupion a jolie couleur de citrouille
La croisette, de beauté à vadrouille
Dont l’ambition est de faire valoir sa bouille
La croisette, friponne sensible aux chatouilles
Dont l’émotion à fleur de peau à mes oreilles, gazouille
La croisette, espiègle cœur qui sans cesse, tripatouille
Et dont l’étrange situation s’avère idéale pour les papouilles…
Maman, pour sa petite fleur, parfois un peu fripouille…
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