mercredi 18 février 2009

Le mensonge, pour seul refuge...

« Femme qui se refuse, n’est qu’un cœur qui s’abuse »

Dis Julien, pourquoi avec nous, tu t’amuses ?
Dis Julien, pourrais-je en rêve, être ta muse ?

Dis Julien, arrête de nous la jouer, avec ruse !
Dis Julien, si je dis : « Je t’aime », j’abuse ?

Dis Julien, tu en vas pas t’enfuir, vieille buse ?
Dis Julien, ton charme nous ensorcelle, exquise excuse !

Dis Julien, l’amour en partage, et le bonheur fuse !
Dis Julien, tes envolées sont lyriques, et nous, si confuses !

Dis Julien, qui joue avec l’autre, je me sens l’intruse !
Dis Julien, à toi, le maître du jeu, parfois, je me refuse !

Dis Julien, ni avec toi, ni sans toi, suis-je quelque peu, obtuse ?
Dis Julien, tu aimes les femmes, mais avoue que parfois, cela t’use !

Et de ce Doré, bel amant mais si mal aimé, de ses bravades, je sors parfois bien percluse…
Et de ce Doré, bel amour, sur ses contours tout en saccades, je m’endors telle une recluse…

Caliente
Illuna


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