« La vie sans toi n’a plus la même saveur ! »
Elle manque cruellement de ton odeur
De cette odeur que je cherche, sans plus la trouver
Elle manque cruellement de ta douceur
De cette douceur que je chéris, sans plus la rencontrer
Elle manque cruellement de ta chaleur
De cette chaleur qui m’habite, sans plus d’écho pour la distiller
Elle manque cruellement de tes erreurs
De ces erreurs, si chères à mon cœur, et que personne ne viendra combler !
Elle manque cruellement de tes ardeurs
De ces ardeurs qui implosaient la vie, et dont toi seul, avait le secret, oublier…
Mais comment t’oublier, toi qui coule si puissamment dans mes veines,
Né de moi, de ma chair, de mon sang, je ne t’aurais davantage aimé…
Et de ne cesser de me dire, d’une voix obscure et sourde,
Que c’est triste la vie
Au temps des amours mortes
Que c’est triste la vie
Au temps des portes closes
Que c’est triste la vie
Au temps de l’oubli qui m’emporte
Que c’est triste la vie
Au temps des jours moroses
Que c’est triste la vie
Au temps des nuits cloportes
Que c’est triste la vie
Au temps des cœurs qui implosent
Que c’est de plus en plus triste, la vie
Quand je découvre que je n’ai plus envie !
Que c’est de plus en plus triste, la vie
Quand je me languis de toutes tes folies !
Maman…
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