samedi 13 décembre 2008

Comme en feuilletant les pages sacrées d'un recueil...


En mode « abandon »

Sous l’opulence d’une série de frustrations
Sous l’offense d’une série d’effractions
Sous l’obédience d’une vague de confusion
Sous l’intense d’une vague d’effusions
Sous l’engeance d’une flopée de prédictions
Sous le suspense d’une flopée de réflexions
Sous l’impudence d’une nuée d’ondulations
Sous l’imprudence d’une nuée de circonvolutions

En circuit « contradiction »
En attente « légers frissons »

En vision « ultra-sensoriel »
En vibration « brut et soleil »

En position « douce et feutrée »
En composition « instinct et feulée »

L’homme arrête le temps et nous suspend à son fil de dandy
L’homme apte, à tout moment, à nous prendre dans ses filets
L’homme arrête le souffle du vent et nous surprend à son chevet
L’homme capte nos émotions pour nous comprendre un tantinet
L’homme prête son attention pour de nous, toute apprendre, si, si…

Et nous voilà, à notre tour, en mode « adulation », en mode « adoration », en mode « pâmoison » et de guérison, à cet instant précis, il n’est nulle question… puisque la maladie est si belle d’une étrange confusion…

Caliente
Illuna

Aucun commentaire: