« Flou bohème, folle de ses : je t’aime ! »
Ame féminine qui ne s’ignore pas !
Ame féminine qui ne triche pas !
Dame angevine qui s’invite juste là !
Dame angevine qui s’incruste sans tracas…
Lame divine qui s’affûte sans falbala
Lame divine qui s’estime libre et plus que ça !
Femme sibylline qui s’esquive, oui da !
Femme sibylline qui s’estompe, et nous laisse là !
Arme sauvageonne qui bouscule pour toujours nos alchimies
Larme, cri de lionne, qui insulte chaque jour nos parodies
Charme qui s’actionne, frictionne et qui pulse au détour nos énergies
Parme qui bourgeonne, qui compulse aux alentours nos intempéries
Femelle, née dans l’antre d’une bête dorée
Frisson, né dans le ventre d’une bête adorée
Flamme, née dans le chantre d’une bête adulée
Fenaison, née dans l’amante d’une bête mordorée
Flou, fou ce délicieux garçon, qui met le feu à ma maison close
Flou, fou ce petit polisson, qui promet le feu à ma bien sage prose
Flou, fou ce cher calisson, qui soumet le feu à ma maison d’ose
Flou, fou ce délicat frisson, qui n’admet le feu qu’à ma page rose
Flou, intense, ce baiser de légende qui se meurt au pied de mes addictions…
Caliente
Illuna
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire