Arrivé de « Neverland », il a tenté un pari fou, et a réussi à marquer de suite les esprits
Débarqué dans « Naziland », paysage audiovisuel coincé, la liberté acquise n’a pas de prix
Dans les brumes du Nord, il a perdu son vibrant accent du Sud, en un temps record
Dans les affres des décors, il a voulu se suicider pour mieux renaître à d’autres accords
Dans la plénitude d’un Belphégor, il a tenu à nous démontrer une palette gorgée d’or
Dans des attitudes de « Stentor », il a soutenu ses valeurs, lutté pour elles, pour ses trésors
Dans le cambré d’un matador, il a contenu ses folies, ses chevaux ardents, le bel « amor »
Dans l’ourlé d’un monsignor, il a débattu de ses passions, nous les communiquées avec sa voix de ténor
Dans le franc-parlé d’un conquistador, il a obtenu la reconnaissance, de quoi voir la vie en technicolorDans l’échappée du condor, il a entretenu nos espoirs de grandes « choses », d’un avenir mené « tambour-major »
Dans des attitudes de « Stentor », il a soutenu ses valeurs, lutté pour elles, pour ses trésors
Dans le cambré d’un matador, il a contenu ses folies, ses chevaux ardents, le bel « amor »
Dans l’ourlé d’un monsignor, il a débattu de ses passions, nous les communiquées avec sa voix de ténor
Dans le franc-parlé d’un conquistador, il a obtenu la reconnaissance, de quoi voir la vie en technicolorDans l’échappée du condor, il a entretenu nos espoirs de grandes « choses », d’un avenir mené « tambour-major »
Maintenant, le guerrier a gagné l’instant magique, mais non unique…
Celui où il peut se retourner et goûter « colchique »
Celui où il peut s’égarer quelque peu, nostalgique
Celui où il peut s’étonner de l’accompli, cyclique
Celui où il peut s’émerveiller, tel un enfant, féerique
Celui où il peut laisser couler les larmes, aquatique
Celui où il peut se moquer de lui-même, caustique
Celui où il peut oser tester son public, quelque peu citrique
Celui où il peut tenter d’improbables folies sur scènes, impudique
Celui où il peut presque se permettre l’irrespectueux, dithyrambique
Celui où il peut charrier les gens, les bousculer, clown psychédélique
Celui où il peut se laisser effeuiller pour consumer nos attentes érotiques
Celui où il peut combler ses propres manquements, d’un sourire euphorique
Celui où il peut tomber de son pied d’estale, le pardon étant à ses pieds, fanatique
Celui où il peut jouer au fils de dieu, oscillant entre le charismatique et le christique
Celui où il peut se permettre de tomber, de se relever, mi-pathétique, mi-acrobatique
Celui où il peut flirter avec l’impensable en tout confort, et là, cela devient « historique » !
Caliente
Illuna
Celui où il peut se retourner et goûter « colchique »
Celui où il peut s’égarer quelque peu, nostalgique
Celui où il peut s’étonner de l’accompli, cyclique
Celui où il peut s’émerveiller, tel un enfant, féerique
Celui où il peut laisser couler les larmes, aquatique
Celui où il peut se moquer de lui-même, caustique
Celui où il peut oser tester son public, quelque peu citrique
Celui où il peut tenter d’improbables folies sur scènes, impudique
Celui où il peut presque se permettre l’irrespectueux, dithyrambique
Celui où il peut charrier les gens, les bousculer, clown psychédélique
Celui où il peut se laisser effeuiller pour consumer nos attentes érotiques
Celui où il peut combler ses propres manquements, d’un sourire euphorique
Celui où il peut tomber de son pied d’estale, le pardon étant à ses pieds, fanatique
Celui où il peut jouer au fils de dieu, oscillant entre le charismatique et le christique
Celui où il peut se permettre de tomber, de se relever, mi-pathétique, mi-acrobatique
Celui où il peut flirter avec l’impensable en tout confort, et là, cela devient « historique » !
Caliente
Illuna
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