Ai-je rêvé ou ai-je sombré ?
D’un festival de clichés en abdominal, je suis bonne à aliter
Ai-je rêvé ou ai-je sublimé ?
D’un panel estival de nudité royale, je suis bonne à enfourner
Ai-je rêvé ou ai-je fantasmé ?
D’un cheptel moral à sa beauté fatale, je suis bonne « à » le déifier
Ai-je rêvé ou ai-je trop péché ?
D’un corps naval à la chair pâle, je suis juste bonne à me pâmer
Ai-je rêvé ou ai-je trop déliré ?
D’un regard très trivial sur cette chute de reins picturale, je suis bonne à couler
Ai-je rêvé ou ai-je trop vogué ?
D’un instant nuptial au grand feu infernal, je suis maintenant bonne à tanguer
Ai-je rêvé ou ai-je trop bourlingué ?
D’un infini capital, effacé le cérébral, je suis à son corps défendant, bonne à baiser
Ai-je trop rêvé ou ai-je trop navigué ?
D’un don bestial à sa substance intersidérale, je suis juste bonne à m’en pourlécher
Ai-je trop rêvé ou ai-je trop espéré ?
D’un déshabillé subliminal et d’un tour de rein infernal, je suis juste bonne à embrasser
Ai-je trop rêvé ou ai-je trop bécoté ?
D’un nu offert à demi-animal, à demi-mistral, je suis juste bonne à m’enivrer, à caresser, à l’adorer…
D’un instant nuptial au grand feu infernal, je suis maintenant bonne à tanguer
Ai-je rêvé ou ai-je trop bourlingué ?
D’un infini capital, effacé le cérébral, je suis à son corps défendant, bonne à baiser
Ai-je trop rêvé ou ai-je trop navigué ?
D’un don bestial à sa substance intersidérale, je suis juste bonne à m’en pourlécher
Ai-je trop rêvé ou ai-je trop espéré ?
D’un déshabillé subliminal et d’un tour de rein infernal, je suis juste bonne à embrasser
Ai-je trop rêvé ou ai-je trop bécoté ?
D’un nu offert à demi-animal, à demi-mistral, je suis juste bonne à m’enivrer, à caresser, à l’adorer…
Ai-je trop rêvé, à en perdre toute dignité ?
Où dans cette arène, un homme presque banal m’a fait perdre, outre l’esprit, toute demi-mesure et toute limite outrepassée, toute fierté effacée, j’ai juste laissé ma féminité être ensevelie au pied d’un adonis dont les «cupidoneries » ont mes deux sous de bon sens, totalement effacé…
Caliente
Illuna
Où dans cette arène, un homme presque banal m’a fait perdre, outre l’esprit, toute demi-mesure et toute limite outrepassée, toute fierté effacée, j’ai juste laissé ma féminité être ensevelie au pied d’un adonis dont les «cupidoneries » ont mes deux sous de bon sens, totalement effacé…
Caliente
Illuna
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